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Posted: Thu 7:04, 24 Oct 2013 Post subject: hollister sale Généthon le rôle |
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Située dans le laboratoire du Généthon, à Evry (Essonne), cette banque privée est financée à 90 % par l'AFM, association à but non lucratif, le reste provenant des revenus générés par la commercialisation des du Généthon. Celui-ci est essentiellement financé par les dons du Téléthon, le système de collecte auprès des particuliers calqué sur un modèle américain, que l'AFM a mis en place en 1990.
- Le site du laboratoire d'éthique médicale de
Récent, le métier de " banquier ADN " suscite de nombreuses questions éthiques auxquelles les responsables du Généthon tentent de répondre avant qu'elles ne posent problème. En février 2000, ces derniers ont saisi le Comité consultatif national d'éthique (CCNE). "Nous voulions leur avis sur les différentes règles que nous mettons en place et que nous réactualisons régulièrement, en fonction des législations internationales ", dit Anne-Laure Morin, juriste, chargée de mission en bioéthique auprès de l'AFM. Les sages du Comité ont été consultés sur trois points : la charte du Généthon, le texte sur le consentement éclairé des patients dont l'ADN est prélevé, et la publication sur Internet du catalogue des collections de la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] banque.
La [url=http://t.sohu.com/m/9923807052]woolrich Les petits actionnaires veulent la démission de Liliane Bettencourt[/url] possibilité de le catalogue de cette [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] banque ADN en ligne profiterait, affirment les membres du Généthon, à la fois aux chercheurs et à la banque elle-même. "Les chercheurs pourraient conna?tre, facilement et rapidement, ce que nous possédons, explique Jeanne-Hélène di Donato. Et la publication de l'état de nos données pourrait la constitution de nouvelles collections, car ce serait un moyen de toutes les familles éparpillées dans le monde et touchées par une maladie rare, et dont nous souhaitons l'ADN, afin de un volume de données probant pour la recherche."
A en ligne :
L'ADN conservé dans la banque du Généthon est prélevé à de simples prises de sang. Les familles qui confient leur patrimoine génétique à ce laboratoire sont informées par leurs médecins. Ces derniers sont chargés de leur les buts et les enjeux de la collecte. Si le patient est d'accord pour son ADN à la banque, il tente de et de les membres de sa famille pour qu'ils donnent, eux aussi, leur prélèvement. "S'il n'y a qu'un seul cas dans la famille, on recherche l'ADN de la fratrie et des ascendants, explique Jeanne-Hélène di Donato. S'il y a plusieurs cas dans une même famille, on essaie de les cousins. On peut jusqu'à 100 individus pour une même famille."
Pour les chercheurs s'intéressant à ces maladies, les responsables de l'AFM décident de leur de "la matière première". Leur objectif : suffisamment d'ADN provenant de familles dont un ou des membres sont atteints de myopathie, afin d' les gènes impliqués dans le développement de cette maladie neuromusculaire. Aujourd'hui, la banque du Généthon a étendu son fonds à d'autres maladies rares. "Quelque 350 pathologies sont aujourd'hui référencées mais certaines collections sont en cours de constitution, indique Jeanne-Hélène di Donato, responsable du département banque et collecte du Généthon. Les chercheurs ont besoin d'une certaine masse d'échantillons d'ADN pour , dont le nombre varie en fonction des pathologies et du caractère spécifique des gènes étudiés."
, et à la disposition des chercheurs le patrimoine héréditaire de patients et de leur . Elle contient actuellement plus de 150 000 échantillons d'ADN, constitués à de prises de sang effectuées sur environ 17 000 individus, issus de plus de 5 000 familles.
ANTICIPER LES ?CUEILS ?THIQUES
"Les banques ADN imposent un nouveau cadre législatif, qui doit redéfinir les limites de la personne", estime Christian Hervé, [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] directeur du laboratoire d'éthique médicale (LEM) de l'h?pital Necker à Paris. Une redéfinition délicate, qui soulève d'importants enjeux éthiques et économiques. "Pour plusieurs recherches sur un même échantillon d'ADN, devra-t-on le gène du corps humain ? Doit-on considérer les gènes, une fois manipulés en laboratoire, comme des biens sur lesquels le donneur ne peut plus de droit de propriété ? C'est ce qui se passe aux Etats Unis, où on peut un gène, comme on peut un rein ou même une cellule", note Christian Hervé. Pour ce spécialiste de l'éthique médicale, la législation fran?aise ne semble pas dans cette direction : "La notion de personne humaine, en tant que sujet qu'on ne peut ni en entier, ni en parties, date [url=http://cps.dalang.gov.cn/E_GuestBook.asp]moncler ou[/url] de 1789. la personne commercialisable serait un hiatus par rapport à notre histoire."
350 R?F?RENC?ES
Anne Lindivat
A cette époque, la génétique fait ses premières promesses. Les dirigeants de l'AFM, parents d'un enfant atteint de myopathie, cherchent un moyen d' la [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] recherche mais peinent à des chercheurs sur cette pathologie, qui provoque une dégénérescence progressive de tous les muscles. Elle fait partie des maladies dites [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour.co.uk[/url] "rares", celles qui ne touchent pas suffisamment de patients pour intéresser les laboratoires, à l'aff?t de découvertes sur des populations plus larges, et donc potentiellement plus rentables.
La charte a été revue et corrigée plusieurs fois depuis sa première rédaction. " Elle stipule par exemple que les chercheurs qui empruntent des échantillons à la banque ne peuvent ensuite les à un tiers ", indique Anne-Laure Morin. [url=http://ygtianrun.com/Review.asp?NewsID=318]Violence à la télévision le gouvernement ne reprend que partiellement le rapport Kriegel[/url] Le consentement éclairé est sans doute l'un des points qui suscite le plus de doutes et de polémiques au sujet des banques ADN. Selon la législation en vigueur actuellement (la loi Huriet de 1988), le patient donne son accord, au moment de la prise de sang, pour que son ADN soit prélevé, stocké et utilisé dans le cadre d'une recherche bien précise. " Pour en tant que banque, il est indispensable que cet ADN puisse être prêté à l'occasion d'une nouvelle recherche, explique Jeanne-Hélène di Donato. Il est en effet parfois difficile, en cas de décès ou de changement d'adresse par exemple, de le donneur pour lui son accord lorsque la [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] recherche a changé de finalité." Pour travailler "dans l'intérêt des patients et des chercheurs", les responsables du Généthon ont donc demandé que l'ADN puisse être réutilisé sans l'accord du patient. Sauf si celui-ci choisit de ne prêter son ADN qu'une seule fois, dans le cadre d'une recherche précise effectuée par un [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] laboratoire particulier. L'échantillon est alors détruit après usage. " Dans le cas où les échantillons font l'objet d'une [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] demande présentant . un changement substantiel de finalité de recherche ', un conseil indépendant composé d'experts devra dorénavant si ce projet, différent du projet initial, est correct d'un point de vue éthique et scientifique ", explique Anne-Laure Morin.
L'ADN recueilli est dupliqué : lorsque les échantillons sont prêtés, le laboratoire garde l'original. Il est conservé sous différentes formes (ADN extraits, lymphocytes purifiés et lignées lymphoblasto?des), qui correspondent aux besoins des chercheurs. Ces derniers doivent déposer une demande [url=http://www.fibmilano.it]woolrich outlet[/url] écrite auprès du Généthon pour , [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] sur une période donnée - généralement trois ans - [url=http://www.ktbruce.co.uk/hollisteroutlet.php]hollister outlet[/url] d'un prêt d'échantillons.
- Le site du
Cet ADN est stocké au Généthon, à Evry. Les échantillons sont conservés dans de grandes cuves dont la température s'élève à 4 degrés pour un stockage à court terme, à moins 20 degrés pour un stockage à long terme. Des lymphocytes, permettant d' de nouveau de l'ADN, sont conservés dans de grandes cuves dont la température est à moins 196 degrés. A chaque échantillon correspond un numéro, le nom du [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] "propriétaire" de cet ADN et l'indication de la maladie dont lui ou l'un des membres de sa famille est atteint. La mise en ?uvre de ce fichier informatique regroupant ces données a été autorisée par la Commission nationale de l'informatique et des libertés (). |
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