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Posted: Mon 14:49, 21 Oct 2013 Post subject: barbour online shop La descente aux enfers de Ség |
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En novembre 2008, elle? échoue à prendre la direction du Parti socialiste, victime d'une coalition d'éléphants – Martine Aubry, Dominique Strauss-Kahn, Laurent Fabius –, qui avaient fait le serment de préserver le PS de la révolution royaliste.
Pourquoi tant de haine??
Dans la foulée de la victoire de Fran?ois Hollande, nombre de ses camarades ne voient pas pourquoi ils s'inclineraient devant elle.
Aujourd'hui, elle n'est plus en situation, et les lettres de noblesse qu'elle avance – ?"quatre fois députée, trois fois ministre, deux fois présidente [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] de région, une fois candidate à la présidentielle" – pour légitimer son souhait de conquérir la première circonscription de Charente-Maritime et devenir présidente de l'Assemblée nationale se retournent contre elle.
Mais [url=http://www.osterblade.com]moncler outlet[/url] il ne faut pas pour autant évacuer la thèse selon laquelle un échec à la présidentielle laisse peu de capacités de rebonds.
Trois ans plus tard, en octobre 2011, elle échoue à la primaire socialiste en ne recueillant que 7 % des suffrages. Elle n'arrive qu'en quatrième position derrière Arnaud Montebourg, Martine Aubry et Fran?ois Hollande. C'est la même qui, cinq ans plus t?t, avait battu à plate couture Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius en recueillant 60 % des suffrages des militants.
Il ne faut pas non plus nier le [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] machisme, présent au PS comme dans les autres formations politiques.
Ce que vit Ségolène Royal, cette longue descente aux enfers politiques depuis cinq ans, [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] incite une [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] nouvelle fois à poser la question?: faut-il co?te que co?te s'accrocher après un échec à l'élection présidentielle? ?
Et dimanche 10 juin 2012, soir du [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] premier tour des élections législatives, c'est La Rochelle qui lui inflige l'estocade. La Rochelle, haut lieu des rassemblements socialistes, La Rochelle où elle se retrouve en duel face à [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] Olivier Falorni, ex-patron des socialistes de Charente-Maritime, ex-proche de Fran?ois Hollande, aujourd'hui en dissidence et vers lequel pourrait se tourner une partie des électeurs de droite qui [url=http://www.khmz.gov.cn/E_GuestBook.asp]barbour fr[/url] veulent? la peau à la présidente de la région [url=http://luzhai.eqedu.net.cn/guestbook.asp]barbour fr[/url] Poitou-Charentes.
Il y a désormais l'exemple de Ségolène Royal qui, depuis son échec présidentiel de 2007, a tout fait pour maintenir intacts les moyens de son ambition, mais a [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] essuyé en retour une série de revers de nature à décourager les plus résistants, y compris elle, la "Femme debout".
Evidemment, il faut tenir compte du caractère, admettre que Ségolène Royal est une personnalité qui clive fortement. Dans les mandats qu'elle a exercés, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] elle a beaucoup dérangé ses [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] opposants et bousculé les siens, si bien qu'elle subit un retour de b?ton particulièrement violent.
Il y avait déjà l'exemple de Valéry Giscard [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] d'Estaing qui, au lendemain du 10 mai 1981, avait tenté de reconstruire un destin politique en partant du terrain – un simple mandat de conseiller général du Puy-de-D?me – pour tenter, pas à pas, de se hisser de nouveau [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti soldes[/url] au plus haut. Mais jamais [url=http://www.kt70.com/~slave/aile/joyful/joyful.cgi]louboutin Acheter des followe[/url] l'occasion ne vint. Le pays s'était habitué à vivre sans lui.
Ségolène Royal était la candidate d'un moment. En 2007, elle représentait, comme Nicolas Sarkozy, une tentative de renouvellement. |
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