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cekyophr5
PostPosted: Wed 13:30, 09 Oct 2013    Post subject: peuterey Rentrée littéraire contraction

Même s'ils signent des romans se revendiquant de la fiction, plusieurs écrivains s'inspirent de l'actualité récente. La chute du président égyptien , et les manifestations de la place Tahrir sont au coeur de Rêveurs, d'ère (Gallimard), quand le "printemps arabe" est évoqué dans Rue des voleurs, de (Actes Sud). Chaos br?lant, de Stéphane Zagdanski, très largement inspiré par l', a mobilisé toute l'attention des juridiques du Seuil.
Si la crise économique mondiale s'est frayé un chemin en littérature depuis trois ans, sa présence se fait particulièrement cette année, que ce soit dans La Survivance (Grasset), de , sur des libraires ruinés et retirés du monde, ou dans Fermeture éclair, de (Lattès). Notons également le surgissement de la crise grecque avec L'Enfant grec, de (Stock), dans lequel un vieil homme, à Paris, [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] se souvient de son enfance athénienne [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] tandis que lui [url=http://www.aspiecafe.net/forum/discussion/18968/moncler-outlet-positive-review-of-usda-rural-housing-mortgages]moncler outlet Positive Review Of USDA Rural Housing Mortgages[/url] parviennent les échos des manifestations contemporaines dans son pays d'origine.
ROMANS VERSUS R?CITS
Outre les amants, ma?tresses, parents, a?euls et autres proches des auteurs de la rentrée, des figures célèbres [url=http://www5f.biglobe.ne.jp/~shanil/mv/bbs2/t-yybbs.cgi]air jordan Ce tampon noir qui[/url] ou historiques continuent de s' dans les [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] rayons "littérature" des librairies. A par , héros de Rien ne se passe comme prévu, de Laurent Binet (Grasset). Plus loin de nous, l'écrivain Raymond Carver (1938-1988) et ses relations avec son éditeur américain sont au de Ciseaux, de Stéphane Michaka (Fayard). L'artiste (1887-1968), et un épisode méconnu de son existence, ont inspiré Orchidée fixe à (JC Lattès), et publie le "roman" (c'est écrit sur la couverture) Fassbinder. La mort en fanfare (Rivages). Patrick Deville, lui, reconstitue le destin d' (1863-1943), disciple de et découvreur du bacille de la peste dans Peste & Choléra (Seuil), et revient dans La Dernière Eatherly (Plon) sur celui du pilote qui ouvrit la route au bombardier atomique jusqu'à Hiroshima.
La veine autobiographique continue ainsi d' la rentrée, et le "je" de s'. Dans Réanimation (Grasset), Cécile Guilbert évoque les semaines passées à que son compagnon sorte du coma. Santiago Amigorena revient dans La Première Défaite [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] (POL) sur quatre années vécues dans le ressassement d'un chagrin d'amour. Fran?ois Bon se livre à une Autobiographie des objets (Seuil), évoquant son histoire personnelle à travers les bouleversements techniques et technologiques qu'il a connus, tandis que Bernard Pivot publie son autobiographie romancée, Oui, mais quelle est la question? (Nil), que Maryse Condé s'apprête à La Vie sans fards (JC Lattès) - la sienne - ou encore que Jeanne Cordelier, connue pour La Dérobade (Hachette, 1976), se souvient de son [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] enfance dans Escalier F (Phébus). Chez les étrangers, Michael Ondaatje poursuit son entreprise autobiographique avec La Table des autres (L'Olivier), dans lequel il évoque la traversée en bateau, effectuée à [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] 11 ans, entre [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] Ceylan et Grande-.
en tribunes de journaux : la fiction est-elle morte ? Le roman d'imagination, "en coma dépassé", pour la formule de l'écrivain Philippe Forest ? Mis à part L'Art fran?ais de la guerre, d'Alexis Jenni (Gallimard), représentant d'une littérature "romanesque" récompensé par le prix Goncourt, la liste des textes couronnés en 2011 pouvait le . Le prix Fnac, le premier de la saison ? Décerné à Rien ne s'oppose à la nuit, de Delphine de Vigan (Lattès), sur [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] l'histoire de sa mère. Le Renaudot ? A Limonov, d'Emmanuel Carrère (POL), [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] qui retrace le destin d'un écrivain russe, ex-mercenaire devenu opposant [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] à Poutine. L'Interallié ? Tout, tout de suite (Fayard), la plongée de Morgan ès dans l'affaire Ilan Halimi... En cette rentrée 2012, la contraction du domaine de la fiction semble appelée à se .
Parmi les autres qui portent le sceau du réel, sinon du vécu, signalons L'Hiver des hommes (Julliard), pour lequel Lionel Duroy a enquêté sur le suicide, en 1994, de la fille du criminel serbe Ratko Mladic. Autres enquêtes : celles de Jean Grégor, qui revient dans L'Ombre en soi (Fayard), sur une tentative de meurtre dont son père, le journaliste Pierre Péan, fut lacible, et celle menée par Colombe Schneck dans La Réparation (Grasset), sur le destin de sa durant la . Grasset, porté sur la veine autobiographique, publie également le [url=http://bidebay.com/thread-423562-1-1.html]jordan pas cher En baisse Le déficit italien[/url] premier roman Un héros, dans lequel Félicité Herzog évoque de manière [url=http://www.mquin.com/saclancel.php]lancel pas cher[/url] fort peu hagiographique son père, Maurice, vainqueur de l'Annapurna en 1950 [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] et ex-ministre.
HISTOIRE R?CENTE

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