cekyophr5 |
Posted: Wed 8:37, 09 Oct 2013 Post subject: tiffany Triste Novembre… Famille sens dessus de |
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Mais, comme nous sommes vivants, nous, la vie reprend toujours – en principe – le dessus, comme on dit. Il faut ??avancer??, avec ceux qui nous entourent, que nous aimons, et qui sont vivants eux aussi. Ne pas s’arrêter… et rester debout?! Malgré cet entrelacement, au plus profond de notre être, de l’angoisse de la mort et du désir de la [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] vie, toujours.
Tous les jours ou presque nous entendons cela?: ??Ah?! Novembre, je déteste ce mois?!??. Et oui, quelques [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] semaines [url=http://1us.co/activity/p/59444/]woolrich outlet Multi Level Marketing Systems - An Unquestionable Need To Explode Your Sponsoring[/url] seulement après la rentrée des vacances, nous sommes déjà fatigués et nostalgiques des longues [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] et belles journées d’été?! Voilà l’hiver et sa froidure qui nous envahissent !
Mais la rencontre réelle et (ou) psychique entre les enfants, adolescents, parents et grands parents, lors de ces moments de retrouvailles et de souvenir des absents, constitue un enjeu important d’appartenance et de transmission d’une histoire singulière. [url=http://www.frbiz.com/products/j-37177487/ipad_cover_cgi_005.html]air jordan Le BEA a pu lire t[/url] Quels que soient les liens affectifs, d’attachement, de rivalité, d’envie ou d’indifférence que peuvent se manifester les différents membres d’une famille, dans la réalité, ces éprouvés d’absence, de perte, vécus par chacun, inexorablement, contribuent à fabriquer ce qu’on appelle une ??histoire de famille??.
Et puis, Novembre lui-même avan?ant malgré [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] tout vers sa fin, il faudra bien chercher d’autres occasions pour nous retrouver, d’autre t?ches pour nous animer, d’autres pensées pour nous réchauffer. Cela [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] tombe bien, la fin de l’année et le début de la suivante arrivent, qui nous [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie soldes[/url] permettront, autant que possible, avec qui nous voudrons, de faire la fête… vraiment… pour de ??bon???!
Pourtant, heureusement, dans la pensée consciente, au quotidien, nous réussissons tant bien que mal l’épreuve de l’oubli, de la distance, avec l’idée de la finitude de toute [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] vie, de la triste condition humaine. Les morts nous encombrent, souvent. Ils nous empêchent de vivre, [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] pensons-nous… Alors, nous les enfouissons au plus profond… de notre psyché. Mais ils savent se rappeler [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] à nous d’une manière ou d’une autre, sans crier gare. Alors survient l’angoisse, qu’il faut éprouver, affronter intérieurement, dans l’intimité de cette relation cruelle à l’absence, mais aussi qui nous fait réfléchir… sur le sens de notre vie.
Les enfants jouent souvent avec l’idée de la mort, à travers toutes [url=http://www.qhdyy.cn/forum.php?mod=viewthread&tid=299028&fromuid=23171]isabel marant sneakers La France premier exportateur mondial de voiliers Conte[/url] sortes d’expériences. Ils aiment se faire [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] peur, dit-on?! Ils convoquent dans leurs scénarios imaginaires toutes sortes de personnages, vampires, morts-vivants… [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] Mais, au bout du compte, l’excitation psychique provoquée par les aventures de ces créatures de ??rêves-cauchemars?? renforce leur envie de grandir. Leurs frissons sont des expressions émotionnelles bien vivantes.
Francis Moreau
Et puis, Novembre commence par cette ??fête?? des morts… Dr?le de fête, [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] si l’on peut dire, en vérité?! Beaucoup d’entre nous sont soumis, ou se soumettent, à cette tradition, bon gré mal gré. C’est souvent l’occasion de se retrouver en famille, dans la réalité, ou bien par la pensée quand, justement, de famille, il ne reste plus grand chose, où qu’elle est tellement loin, géographiquement bien s?r quelque fois, ou psychologiquement parfois aussi. L’absence d’êtres chers se fait plus vive, les disparitions, récentes ou non, sont évoquées, une fois de plus, dans la douleur. Le recueillement est de mise, le vertige assuré?! On peut vouloir fuir cette épreuve, dans la réalité. Psychiquement, elle n’en reste pas moins présente. Les absents reviennent nous hanter – non en rêve cette fois-ci – à travers les souvenirs reconvoqués. |
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