Vintage :: Topic review - giuseppe zanotti pas cher La mémoire de la drosop

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Fragrances de fruits pourris
L'expérience présentée dans Current Biology a consisté à la performance des individus quand ils [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] étaient isolés, et en groupe. Le résultat est sans ambigu?té : les drosophiles s'éloignent plus volontiers de l'odeur néfaste quand elles sont en société que seules. Y a-t-il des leaders qui entra?nent les autres - une sorte d'effet Panurge ? "Nous avons éliminé cette hypothèse en pla?ant des mouches non conditionnées au milieu du groupe : elles se sont comportées de fa?on na?ve et n'ont pas suivi la masse de leurs congénères", explique Thomas Preat. Le chercheur pense que l'explication réside dans l'émission d'une molécule favorisant le rappel du du choc électrique. Mais cette phéromone ne constitue pas en soi un signal de fuite, sinon les drosophiles na?ves suivraient, elles aussi, le groupe.
Travailler sur la mémoire de la mouche peut para?tre anecdoctique. Pour Thomas Preat, il n'en est rien : "L'ancêtre commun à l'homme et à la mouche vivait il y a 600 millions d'années, rappelle-t-il. Mais les neurotransmetteurs sont restés identiques dans les deux espèces. Etudier la drosophile peut nous à mieux des maladies neurodégénérative comme celle d'", assure-t-il.
et se à long terme, à l'échelle d'une vie d'insecte. Les généticiens, qui en ont fait un de leurs modèles favoris, voient de plus en plus en elle un animal proustien : une vingtaine de laboratoires dans le monde se sont spécialisés dans l'étude de sa [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] mémoire olfactive.
L'équipe de Thomas Preat (CNRS-Ecole supérieure de et de chimie industrielle de Paris) est en pointe dans ce domaine, et vient de en évidence le fait que la drosophile, la mouche de laboratoire, se souvient mieux quand elle est en groupe que lorsqu'elle est isolée. Ces résultats, publiés dans la revue Current Biology du 13 octobre, constituent, selon Thomas Preat, "une grosse surprise" et montrent "une nouvelle fois que le cerveau de la mouche est vraiment un monde en soi".
Avec cette méthode, Thomas Preat a été le premier à , en 1994, que certaines formes de conditionnement induisaient des souvenirs à long terme. Depuis, on a pu chez la mouche deux [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] formes de mémoire à long [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] terme, exclusives l'une de l'autre et fonction du d'apprentissage [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] employé. Et on a déterminé que seuls 800 neurones sont responsables de la mémoires à long terme. Ils sont situés dans des "corps pédonculés", de la mémoire olfactive de la mouche et, gestionnaire du sommeil.
A moins que les mouches ne disposent d'un langage corporel, [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] comme les abeilles ? "Cela aurait été fantastique, mais il ne [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] semble pas que ce soit le cas : le même phénomène a été observé dans l'obscurité, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] [url=http://aiziyoubbs.xga.lvdounet.net/forum.php?mod=viewthread&tid=48615&pid=65850&page=3&extra=page=1#pid65850]barbour sale Juste un mot trublion, par Didier P[/url] et sur des mouches sans ailes...", l?che Thomas Preat. L'hypothèse la plus solide est donc [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] bien celle d'une substance capable [url=http://www5f.biglobe.ne.jp/~shanil/mv/bbs2/t-yybbs.cgi]woolrich parka Any Body Part [/url] de émerger un aversif.
La madeleine, que les généticiens ont imaginée pour les drosophiles, ne les met pas sur [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] la piste d'un monde aussi agréable qu'évanoui. Ce sont des [url=http://bbs.xxh.cc/home.php?mod=space&uid=613597][/url] fragrances de [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] fruits pourris qu'elles ont humé, enfermées dans des tubes où on les soumettait à [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] des légers chocs électriques. "C'est un apprentissage de type pavlovien : une odeur est associée à un danger et finit à elle seule par déclencher une réaction de fuite", explique Thomas Preat : placée au milieu d'un tube dont une extrémité est alimentée avec l'odeur, la mouche aura ensuite tendance à s'en éloigner.