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Posted: Sat 17:28, 09 Nov 2013 Post subject: barbour france paris Au Gabon, la désillusion des |
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"Comme en témoignaient l'engouement pour la campagne et le nombre d'inscriptions sur les listes électorales, [url=http://www.welk.cn/?p=362]How To Keep The Head Of A Small Business Above Water - Business Article[/url] il y avait de grosses attentes pour le scrutin", rappelle Yves N'Da, jeune Franco-Gabonais résidant en France et qui avait créé le site pour la campagne. Selon [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] lui, beaucoup de Gabonais sont aujourd'hui "déboussolés" par le résultat de l'élection.
"ON A VU QUE TOUT ?TAIT PLI?"
"Les rues sont tranquilles, mais beaucoup de frustration règne sur le visage des gens", raconte au Monde.fr un habitant de Libreville joint par mail. Mercredi [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich outlet[/url] 9 septembre, dans les rues de la capitale, quelques policiers étaient stationnés aux principaux carrefours, mais la vie a repris son cours. Le campus de l'université Omar Bongo a rouvert, et la plupart des commerces fonctionnent de nouveau.
, l'espoir n'aura que peu duré. Après quarante-deux ans de règne d', beaucoup de Gabonais pensaient que la première élection après la mort de l'ancien leader serait l'occasion d'une changement à la tête [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] de l'Etat. Ils ont vécu l'annonce des résultats favorables à Bongo comme un choc. Après des émeutes à Libreville et à Port-Gentil, le calme semble revenu dans le pays.
Mardi, les concurrents d'Omar Bongo [url=http://www.lotogame.fr/louboutin-pas-cher/]louboutin[/url] lors du scrutin ont tenu une conférence de presse commune pour un recompte des voix. Ils ont aussi prévu d' à des "actions graduelles" pour l'élection d'Ali Ben Bongo. "Cela peut être des marches, des manifestations ou une opération ville-morte, explique l'un d'eux, Bruno Ben Moubamba. C'est aussi à chaque Gabonais se s' et de ce qu'il veut pour son pays. Mais il faudra prudent, car les violences et la répression de Port-Gentil sont dans tous les esprits."
Pour [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] André , l'un des principaux opposants à Ali [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry sale[/url] Bongo (après été lui-même ministre sous Omar Bongo), la reste mobilisée, et un recompte des voix aboutira "mathématiquement" à la défaite du candidat du . Joint par Le Monde.fr, il se dit d'autant plus [url=http://www.villazuki.it]woolrich sito ufficiale[/url] confiant qu'il s'agit là de la première fois que l'opposition arrive à front commun. Jugeant "prématurées" les félicitations de , [url=http://cgi-games.com/abi/abicorp/ccc.cgi]louboutin pas cher Sucy en Br[/url] il dresse un parallèle entre l'élection au et celle de juin en . "Pourquoi deux poids [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] deux mesures ?" s'interroge-t-il. Cliquez pour écouter le son :
La reconnaissance des résultats du scrutin gabonais par a fait l'effet d'un coup de massue chez les sympathisants de l'opposition. Le président fran?ais a été le premier [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] dirigeant occidental à féliciter Ali Bongo après les [url=http://www.meiji-ya.net/cgi-bin/light2.cgi?res=30%22]moncler outlet Fly Screens Pr[/url] dirigeants lybien, camerounais et marocain. "Là, on a vu que tout [url=http://www.dearilievi.it]piumini moncler outlet[/url] était plié", explique Yoni M., un habitant de Libreville joint par téléphone. "Vu comme les choses avancent, on ne voit pas comment le recours pourrait . Les personnes au font partie du [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] clan Bongo." Il para?t difficile, selon lui, d' qu'un recompte pourrait à un résultat différent de celui validé le 4 septembre par la commission électorale.
"On n'y croit plus. Tout le monde se dit qu'en la ne peut pas à de réels [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] changements", estime Gabriel Bouessi, étudiant dans la capitale gabonaise. Selon le jeune homme, "la plupart des habitants n'ont pas la tête aux recours portés par les opposants". Ces derniers disent pourtant y . |
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