cekyophr5
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Posted: Sat 7:36, 14 Sep 2013 Post subject: nike air jordan pas cher Cest ma nouvelle cravate |
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Tout au long de son parcours olympique chez les + 100 [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] kg, le colosse guadeloupéen, 23 ans, 130 kg, a rencontré très peu d'emb?ches sur le tatami, voire aucune. Ses concurrents son t restés transparents, impuissants. Ils ont été généralement sanctionnés pour passivité comme lors de la finale face au Mikhaylin. "Que voulez-vous contre lui ?, raconte le Wojnarowicz (170 kg), son premier opposant. Il était trop fort pour moi, c'est [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister[/url] assez humiliant." "Hamdoullah, j'ai tenu quatre minutes face au quintuple champion du monde", commente pour sa part le Jaballah - qui je?nait malgré la compétition -, sorti sur un somptueux ippon sur uchi-mata à quarante secondes de la fin du combat.
Et que du duel - a sens unique - entre lui et le Cubain Oscar Brayson [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] en quarts de finale ? Riner le termine sur une immobilisation dans la dernière minute. Ce mouvement est l'un des premiers gestes que l'on apprend à une... ceinture blanche ! "J'y ai [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] quand même laissé un doigt, raconte le Fran?ais. Un [url=http://17cliao.com/home.php?mod=space&uid=173274][/url] ligament a pété, je crois." La peur semblait trouvé refuge dans les yeux de ses adversaires. "Non, ils sont allés au charbon. Quand j'avais les mains sur eux, ils se mettaient en arrière, sur la défensive, explique le champion olympique. Je peux vous que c'était dur, je suis fatigué."
un sens. Au bout de ces cinq combats, la gloire éternelle l'attend. Il faut Pékin, cette troisième place et son métal trop terne. aussi ces tonnes de "remises en question". "C'était [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] compliqué de ces dernières nuits", raconte Teddy Riner : couché à 22 h 30, levé à 3 heures du matin, malgré des "cachetons" pour le sommeil. ?a "cogite" un peu trop. "J'avais un ange et un diable dans ma tête", avoue-t-il. Il imagine ses combats et surtout le premier : ne pas , ne pas se sur une attaque... Mais, à part son imagination, qui aurait pu le ce jour-là ?
Tout à l'air si facile en le voyant sur le carré [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] olympique : invincible, intouchable, imprenable, imbattable. "Il est [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] rapide, technique, tactique, intelligent, s'enflamme Djamel Bouras, champion olympique à Atlanta en 1996 (- 78 [url=http://www.oneg.zakkaz.ne.jp/~saya/cgi-bin/joyful/joyful.cgi]barbour outlet Net Designers [/url] kg). Ses adversaires se demandent [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]air jordan pas cher[/url] quoi face à lui." Dans ses combats, pas de chantilly, pas de spectacle. "On n'était pas là pour ?a, argue Beno?t Campargue, l'entra?neur en équipe de France du quintuple champion du monde. L'important, c'était le résultat. Avec toute la pression qu'il avait sur les épaules, l'objectif était l'efficacité." A la fin du combat, Riner est allé les chaussures dorées de son coach. "Je n'avais pas trouvé de taille 49 pour lui, rigole Beno?t Campargue, alors je lui ai dit que, s'il gagnait, je les mettrais."
Vendredi 3 ao?t, le prodige du tricolore a [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] enfin obtenu le dernier collier qui manquait à sa collection : la médaille d'or olympique. "?a y est, je suis champion olympique, l?che-t-il comme pour s'en . Je pense que je ne vais pas la médaille maintenant. Je vais même avec, je vais la , la . C'est ma nouvelle cravate."
Dans les travées de l'ExCel , c'est ambiance match de foot : les Fran?ais - anonymes ou people - sont venus en force. Les drapeaux tricolores retapissent les tribunes. "C'est censé être Londres", rigole [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] un journaliste britannique. Les gradins vibrent [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] - littéralement - aux hurlements du public et des "Allez Teddy". Certains ont traversé la Manche, d'autres l'océan Atlantique, pour ce gar?on. Des billets ont été réservés il y a plus d'une année. On vante "un homme à part dans le monde sportif fran?ais et mondial". Riner, des couleurs nationales ? ?a se voit, ?a s'entend. "Toute une nation [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] voulait que je ramène l'or, sourit-il. J'avais l'impression d'être à Paris."
Maintenant, c'est le temps des vacances. "Après ma victoire sur le tatami, j'ai tout de suite pensé au sable, à l'océan", reconna?t-il. Sous les tatamis, la plage.
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