Vintage

cekyophr5

Tacticien et instruit par les échecs de ses prédécesseurs, M. Sarkozy s'est bien gardé de présenter ces réformes sous la forme d'un tout ou rien. Obligé par la loi de par la négociation pour la plupart d'entre elles, il a voulu de cette contrainte la démonstration de sa bonne volonté.
Extrait : "Ma porte [leur] est toujours ouverte et le restera. Je [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] les connais bien : ce sont des gens de ma génération, c'est-à-dire assez expérimentés pour constaté les failles du système et assez jeunes pour envie de les choses."
"L'harmonisation" des régimes spéciaux de retraite (exception faite des marins et des mineurs) sur le régime des fonctionnaires est assortie d'une invitation à négocier "tous les sujets" tels que [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbourparis.php]barbour[/url] l'indexation des pensions, les bonifications, la pénibilité, l'intégration des primes dans le calcul des pensions et le rythme [url=http://cp.auto.dzwww.com/cp.php?ac=blog&op=list]moncler The Hire A Car Nice Airport For All Your T[/url] de la réforme.
Cette réforme à marche forcée a laissé les syndicats sceptiques et désorientés. Ceux-ci soup?onnent le chef de l'Etat de en place un jeu [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] de dupes. "Il cherche à en place un partenariat pour en ?uvre ce que lui décide", décrypte Bernard Thibault (CGT). "Qui fait quoi ? Ce [url=http://www.vasotecdzeen.fora.pl/need-you-two-brown-the-hole-prozac-news-positions,1/louboutin-pas-cher-quelle-est-la-situation-humanit,25627.html#25709]louboutin pas cher Quelle est la situation humanit[/url] n'est pas clair", s'interroge Jean-Claude Mailly (FO).
", les syndicats ont croulé sous des éloges présidentiels réservés jusqu'alors au traditionnel discours de début d'année aux "forces vives".
Le ministre du travail, Xavier Bertrand, a tenté de chacun promettant, une nouvelle fois, à propos des régimes spéciaux, [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] que "la réforme n'est pas ficelée et n'attend pas dans un tiroir".
Mais sa souplesse a des limites. Entre le libre arbitre des partenaires sociaux, qu'il dit respecter, et sa volonté, manifeste depuis la rentrée, d'accélérer le rythme des réformes, M. Sarkozy a choisi. "Le dialogue social ne doit pas être un alibi à [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] l'inaction", a-t-il rappelé en assortissant chacun de ses projets d'un calendrier idoine.
Seront-ils entendus ? Car [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] ce calendrier contraint est d'abord un calendrier politique, décidé unilatéralement par le président de la République.
Les objectifs sont clairs et, pour la plupart, déjà annoncés au cours de sa campagne. Ils concernent notamment la réforme des régimes spéciaux de retraite, la fusion ANPE-UNEDIC ou l'assouplissement des 35 heures.
La fusion ANPE-UNEDIC ? Il attend des propositions de Christine Lagarde, ministre de [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=140751362926]louboutin Getting To Oslo[/url] l'économie, "dans les quinze jours". Des sanctions contre les fraudeurs à l'assurance-ch?mage ? "Avant la fin de l'année." La création d'un risque ? "Au premier [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]boots ugg pas cher[/url] semestre 2008." Les négociations sur les régimes spéciaux ? "Dès demain." La réforme des retraites ? "Au premier semestre 2008."
La fusion ANPE-UNEDIC est [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] présentée comme [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]ugg pas cher[/url] une opportunité pour les syndicats d'être "davantage associés aux grandes orientations de la de l'".
Au-delà, c'est à un échange que les a conviés le chef de l'Etat pressé d'. Il se résume d'une phrase : "Je serai ouvert sur les moyens et la méthode, mais je ne transigerai ni sur les objectifs ni sur les principes."
"Il y a un doute sur le calendrier et les fa?ons de faire", relève Fran?ois Chérèque (CFDT), qui s'inquiète de "délais impossibles à tenir". Jusqu'à Laurence Parisot (Medef), qui regrette que "le champ de la négociation et de la loi" n'ait pas été mieux défini.
Enfin, en affirmant sa volonté "d' plus loin" sur l'assouplissement "incontournable", il s'engage à "donner une place plus importante à la négociation d' et de branches dans la détermination [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] de la durée collective du travail". Une revendication des partenaires sociaux.
"Il faut se d'accord sur un agenda partagé de réformes", ajoute Alain Olive (UNSA). "Nous sommes [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] prêts à sur tous les sujets, mais sans [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] précipitation. Il faut le calendrier, qui fait quoi, sinon on risque de se , de mal certains dossiers et d' dans le mur", prévient Bernard Van Craeynest (CFE-CGC).
Privé pour l'heure du "choc de confiance" attendu après le vote du "paquet fiscal" en raison de la dégradation du économique, M. Sarkozy a besoin de succès pour l'échéance des de mars 2008, premier test politique de son mandat.
S'exprimant dans l'enceinte du Sénat à l'occasion du quarantième anniversaire de l'Association des journalistes de l'information sociale, M. Sarkozy a séduit les partenaires sociaux avec autant d'application qu'il avait dispensé à le Medef le 30 ao?t.
Pour y , M. Sarkozy veut de la vitesse et la séduction. Un "speed dating" d'un nouveau genre.