cekyophr5
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Posted: Sun 5:53, 22 Sep 2013 Post subject: hollister sale Coefficient multiplicateur erreur |
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A nouveau, s'agit-il d'erreur de calculs, ou d'erreurs de conception ? Il faut les grands auteurs spécialistes du circuit monétaire (Keynes, Kalecki), du surfinancement bancaire et du surinvestissement (Hayek), de l'incertitude économique (Knight), des crises financières (Kindleberger). Ils ont écrit, eux aussi en temps de crise. Il faut les et les pour refonder une science économique appliquée, [url=http://qazx.dyedu.cn/E_GuestBook.asp]louboutin[/url] adaptée et éclairante. Le FMI, l'OCDE, l'UE doivent des modèles économiques fiables, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] qui aident nos femmes et nos hommes politiques à leurs difficiles décisions en connaissance de cause, en les éclairant et non pas en les induisant en erreur.
Ces erreurs de calculs sont en réalité des erreurs de conception dangereuses dans les circonstances actuelles. Une refonte des modèles de prévisions est nécessaire et urgente. Pour de la crise il faut la .
( également, sur le même sujet, , par .)
(FMI). Derrière ce jargon que cela signifie-t-il ? Que, quand l'?tat réduit son déficit [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de 1, [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] l'effet négatif sur le PIB est non pas de 0,5 comme prévu par le modèle, mais de 0,9 à 1,7. C'est-à-dire, quand la France réduit son déficit public de [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] 1 milliard d'euros, son PIB diminue corrélativement de 0,9 à 1,7 milliards d'euros, soit [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] jusqu'à trois fois plus que le modèle ne le prévoit (publication du FMI octobre 2012).
Mais les erreurs ne s'arrêtent pas là. Depuis deux ans, les prévisions de PIB des organisations internationales (Organisation pour [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] la coopération et le développement économique - OCDE, FMI, ) sont constamment révisées [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] à la baisse. Les prévisions de croissance du PIB 2012 du FMI pour la zone euro sont passées de + 1,8% en avril 2011 à + 1,1% en septembre 2011, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] - 0,5% en janvier 2012 et -0,4% en octobre 2012. Le même phénomène se reproduit pour 2013. Les prévisions du FMI pour la croissance de la zone euro passent de + 1,5% en septembre 2011 à + 0,8% en janvier 2012 et enfin + 0,2% en octobre 2012. Le modèle du FMI se trompe sur ses prévisions dans un rapport de 1 à 3.
Avec un écart de 200 %, ce n'est plus une erreur de calcul, mais bien s?r une erreur dans la conception du modèle. Le modèle du FMI est con?u dans le cadre des anticipations rationnelles. Dans [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] ce type d'approche, les individus exercent leur choix en toute connaissance de cause. Si l'?tat augmente son [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] déficit, les consommateurs augmentent leur épargne en vue d' leur retraite que l'?tat et la sécurité sociale ne pourront pas , vu leur comportement dépensier. C'est la [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] situation de stagflation des années 1970. L'effet de relance du déficit public est alors annulé. En cas de réduction de déficit public (comme entre 2010 et 2012), le consommateur réduit sa moins que son revenu ne diminue, le [url=http://www.sdxjxx.sdedu.net/wygkcn_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] multiplicateur est égal à 0,5, car le comportement de l'Etat est censé le . Mais ceci ne correspond pas à la réalité économique dont les modèles sont censés compte.
Le consommateur, dans ce contexte de crise, voit son revenu ou , il réduit sa consommation d'autant et même plus, proportionnellement, comme le montre le pic du taux d'épargne du début de la crise : il est passé de 19 % au milieu des années 2000 à 21 % en 2007 avant de autour de 18 % actuellement. L'épargne finit par dans un deuxième temps de la crise, en raison de la pression exercée [url=http://www.gyjzgl.com/E_GuestBook.asp]giuseppe z[/url] sur les revenus par la crise. Le consommateur diminue ses [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister pas cher[/url] dépenses, les réduisent leur production, le ch?mage augmente, les rentrent mal, le déficit budgétaire s'accro?t. Le circuit de la diminution des revenus et de la production s'encha?ne. Dans ce contexte, la réduction du déficit à grande vitesse amplifie la crise, comme le FMI le reconna?t finalement avec ses erreurs de calculs admises en octobre 2012. C'est un demi aveu, caché par des termes techniques, sur le manque de pertinence de leur modèle rationnel.
Les décisions économiques sont prises dans le temps réel du circuit économique, de l'incertitude prolongée de la crise, de la grande récession, et non pas instantanément, en toute sérénité, dans un processus d'allocations intemporelles, sans ressenti ni souffrance psychologique.
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