cekyophr5
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Posted: Tue 10:26, 15 Oct 2013 Post subject: hollister france Nicolas Sarkozy poursuit la polit |
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Au Palais-Bourbon, M. Accoyer, lui, voulait un geste en faveur des centristes. Il a choisi Jacques Barrot, auquel il a succédé à la tête du groupe parlementaire de l'Assemblée en 2004. "Accoyer a été pris par les sentiments. Il ne pouvait pas le à Barrot", estime un proche du président de l'Assemblée.
M. Larcher voulait M. Haenel, 67 ans, candidat déclaré au Conseil. C'était un moyen de libérer toute une série de fonctions occupées par le sénateur [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] du Haut-Rhin et de son assise au Palais [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] du . M. Larcher a donc refusé de lui-même M. Charasse comme le souhaitait M. Sarkozy. "La majorité sénatoriale n'aurait pas accepté qu'il n'y ait pas un sénateur de la majorité. Le président de la République a compris qu'on ne passe pas comme cela par-dessus le Sénat", observe un proche de M. Larcher.
Ensuite, le Conseil constitutionnel se politise. "Ce sont des politiques qui entrent dans un Conseil qui comptait, au fil des nominations, surtout des juristes", analyse M. Barrot. " Nous sommes trois législateurs qui connaissons la musique du Parlement. Le Conseil doit protéger les droits fondamentaux mais aussi réguler [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] la vie politique Les juristes considèrent un peu que le droit est une fin en soi, tandis que les législateurs sont mieux à même de le à sa dimension de moyen".
M. Sarkozy, lui, avait promis depuis l'entre-deux tours de la présidentielle de 2007 à M. Charasse qu'il serait nommé et ne voulait pas d'un Conseil entièrement de droite, ce qui aurait effacé le bénéfice de la nomination à la Cour du socialiste Migaud.
Face au refus de M. Larcher, le chef de l'Etat s'est résolu à le désigner lui-même. [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] Tant pis pour la féminisation du Conseil, qui ne compte plus qu'une seule femme, la magistrate Jacqueline de Guillenchmidt. Les candidatures évoquées, des juristes Marie-Laure Denis, Anne Levade, et l'ancienne garde des sceaux socialiste, Elisabeth Guigou n'ont pas été retenues.
L'enjeu est de contr?ler l'évolution du Conseil, alors que celui-ci pourra être saisi à du 1er mars par les citoyens qui considéreront, à l'issue du processus judiciaire, [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] qu'une [url=http://www.hzlcdj.gov.cn/kxfz/E_GuestBook.asp]abercrombi[/url] loi a méconnu leurs droits constitutionnels. "Ce serait une erreur de le Conseil en cour constitutionnelle. Le juge constitutionnel ne doit pas se pour le législateur mais les éventuels excès d'une majorité", poursuit M. Barrot. A l'Elysée, un de M. Sarkozy se réjouit de cette [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] tendance, qui sera accentuée par la présence du républicain Michel Charasse.
Ces logiques internes ont conduit à trois vétérans masculins de la politique. "Il est normal que dans une Assemblée de sages, on nomme des sages", défend [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] un de M. Sarkozy. Leur arrivée va sur les équilibres au sein du Conseil, alors que M. Sarkozy a subi les censures constitutionnelles, la dernière étant celle de la taxe carbone en décembre 2009.
. La nomination au Conseil constitutionnel par de cet électron libre de la mitterrandie, fleure bon l'ouverture, même si le sénateur du Puy-de-D?me, [url=http://kizuna-shuzenji.com/form/cgi/postmail/postmail.cgi]jimmy choo paris The Visit Of[/url] 69 ans, qui se revendique de gauche, a été exclu du PS en 2008. L'annonce du [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] choix intervient volontairement au lendemain [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] la nomination du socialiste Didier [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] Migaud à la présidence de la Cour des comptes, socialiste incontesté. La séquence est censée en valeur un président de la République libre à trois semaines des régionales, en dépit de sa chute dans les sondages.
Mais deux autres enseignements sont à des nominations intervenues au Conseil constitutionnel, mercredi 24 février : d'abord le président de l'Assemblée [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] nationale, Bernard Accoyer, et celui du Sénat, Gérard Larcher, sont libres, eux aussi. Alors que la réforme de la Constitution renforce le Parlement, les deux hommes se sont affranchis du président de la République en choisissant l'ancien commissaire européen Jacques Barrot, 73 ans, et le sénateur Hubert Haenel, 67 ans.
MM. Haenel et Barrot sont tous deux catholiques pratiquants, ce qui peut une influence sur les sujets de bioéthique et les questions de société ou religieuses. "J'ai toujours été un chrétien très ouvert, j'ai voté la loi sur l'avortement", se défend par avance M. Barrot. Enfin, les deux [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] hommes sont des européens convaincus. Ils [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/2pcs-Neon-LED-Bike-Car-Tyre-Tire-Green-Valve-Caps-Light-/320518985750]jimmy choo paris Enjoy A Week[/url] sont partisans de la primauté du droit européen sur la constitution, reconnue par le conseil en 2004. Or, la censure de la taxe carbone a été vivement critiquée, pour ne pas bien pris en compte la législation européenne qui s'imposait aux grandes .
En nommant M. Charasse, M. Sarkozy entend la t?che du président du Conseil constitutionnel, le très chiraquien Jean-Louis Debré. "Charasse était le constitutionnaliste de Mitterrand. Avec lui, Debré va la partie beaucoup moins facile qu'avec une Elisabeth Guigou, qui est une technocrate déguisée en politique", analyse un proche de M. Sarkozy.
Ensuite, le renouvellement du Conseil traduit le retour en force des hommes politiques au détriment des juristes purs dans l'institution présidée par le chiraquien Jean-Louis Debré.
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