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Fondée en 2002, à Genève, [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] par et , La Revue durable, sous une forme assez comparable à L'Ecologiste (aspect magazine, un dossier central par numéro), a progressivement gagné une visibilité en adoptant un angle axé sur la question de l'intégration des pratiques écologiques dans les s modernes. S'intéressant davantage à l'économie qu'à la nature, La Revue durable cherche un équilibre entre le pragmatisme du "", honni par nombre d'écologistes comme un faux nez du capitalisme, et la radicalité des choix qu'impose la crise écologique. Cela compose des numéros [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] intéressants et bien informés de l'état des questions traitées, mais où la dimension conflictuelle des choix sociaux semble évacuée.
La saga des revues
Jean-Claude Besson-Girard
Semestriel, 15 euros
Dernier venu dans le champ de la réflexion écologiste, Entropia est née, en novembre 2006, avec un premier numéro consacré à "Décroissance et politique". La revue, lancée par , , [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] , Agnès Sina?, et d'autres, affichait une ligne [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] claire définie par son sous-titre [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] : "Revue d'étude théorique et politique de la décroissance". Editée par la maison d'édition Parangon à raison de deux numéros par an, Entropia assume l'austérité de sa présentation : "Les mots sont importants", résume son principal animateur, Jean-Claude Besson-Girard. Entropia poursuit son chemin avec ténacité, s'interrogeant au [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] fil des [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] numéros sur "Crise éthique, éthique de crise ?", "L'effondrement : et après ?" ou "Territoires de la décroissance", attirant parfois des signatures situées hors du champ de l'écologie comme ou Hervé Le Bras.
, lors de son passage dans le gouvernement de . "Nous allons des écologistes de gauche à des décroissants qui ne veulent pas se à gauche." La revue trimestrielle, animée par des normaliens ou des universitaires, se définit comme "revue critique de l'écologie ", selon son sous-titre, plut?t que théorique. [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] Elle recherche - et obtient - une bonne lisibilité, par des articles concis, sans lourd appareil de notes, et souvent illustrés. Cette volonté pédagogique a fait d'Ecorev l'explorateur de thématiques transversales (le corps, la démocratie, la science, l'histoire de l'écologie, la mondialisation, la décroissance...). Mais ce choix rédactionnel l'a conduite à délaisser des interrogations plus concrètes du débat politique ou économique, si bien que la revue semble parfois en apesanteur par rapport au combat des . Ses scores [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] sont modestes mais réguliers, avec une diffusion moyenne de plus de 500 exemplaires.
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Entropia
C'est aussi en 2000 qu'est né L'Ecologiste, version fran?aise du mensuel fondé par , en 1970. Trimestriel, L'Ecologiste a tout de suite pris, tout en se présentant comme un magazine (couverture en couleurs, format A4), une forme de revue centrée sur un dossier écrit par des auteurs souvent scientifiques, et intégrant nombre d'articles traduits de [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] l'anglais. Animé par [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] , L'Ecologiste a pris son autonomie par rapport à son parrain britannique, tout en restant sur la ligne d'une écologie naturaliste, portant une grande attention aux questions de biodiversité, de forêts, [url=http://wpyhbb123.wi.89988.cn/read.php?tid=172162&displayMode=1&page=e#a]]Des pluies torrentielles font cinq morts en Guadeloupe[/url] d'agriculture, mais aussi de santé ou de pesticides. Diffusant à plusieurs milliers d'exemplaires, la revue doit un nouveau souffle après le décès de son fondateur et mécène, Teddy Goldsmith, en ao?t 2009.
Si l'on en croit le paysage intellectuel dessiné par les , la réflexion écologique va à rebours des politiques concrètement mises en place par les gouvernements sous l'étendard du développement durable. Il [url=http://www.hzgh.cn/home.php?mod=space&uid=32609][/url] n'y a guère pour défendre celui-ci que , sous-titré "mensuel du développement durable", qui se présente comme un magazine sans ambition intellectuelle. En ce sens, l'écologie reste une pensée du refus de l'ordre existant, refus revigoré depuis quelques années par l'affirmation de la nécessaire objection de [url=http://hccweb6.bai.ne.jp/nyanji/cgi-bin/aska.cgi]woolrich parka Beach Body Rev[/url] croissance.
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