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L'argument lié à la culture, au souci de rester fidèle à ses origines, ne tient pas davantage, selon la psychogénéalogiste. Car le nom aurait en [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] réalité bien moins d'importance que nos sociétés contemporaines tendent à lui donner. ? Changer de nom n'est pas un souci ; ce qui est fondamental, c'est garder la mémoire de la généalogie de ses deux parents ?,résume Annie Tranvou?z.

Ce qui n'est plus le cas. ? Avant, les familles vivaient ensemble, et [url=http://www.jdxjxw.com/6018/E_GuestBook.asp]barbour de[/url] on racontait l'histoire de ses ancêtres. Aujourd'hui, et alors que l'on [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] n'a jamais eu autant de moyens de communication, on ignore jusqu'au salaire de son père ! ?Et selon la psychogénéalogiste, [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] cette ignorance explique bien des souffrances de l'homme du XXIe siècle. ?La solitude, c'est la distance de soi à soi. Parce qu'ils ignorent tout de ceux qui les ont précédés, les gens ne se connaissent pas [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ; souvent, ils pleurent sur leur sort, sans comprendre pourquoi [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] des choses ne fonctionnent pas dans leur vie : amours malheureuses, rapport difficile à l'argent, maladies récurrentes. Ils se disent : "Je n'ai pas de chance, c'est toujours sur moi que ?a tombe…" Pour savoir et comprendre qui on est, il est important de conna?tre son ascendance sur au moins quatre générations. ?Un chemin à la rencontre des marionnettistes qui tirent les ficelles de nos vies. Reproduire ou pas les histoires du passé relève ensuite du libre arbitre.
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Changer de nom, c'est comme si j'appartenais à quelqu'un. Et puis je suis fière de mon nom, de mes origines toutes différentes de celles de mon époux.? Mariée depuis quatre ans, Nathalie, une Ni?oise de 33 ans, n'a pas souhaité prendre le nom de [url=http://www.xl120.cn/GuestBook.asp]jimmy choo[/url] son mari, chilien. Une situation assez banale, que conna?t bien Annie Tranvou?z, psychogénéalogiste à Toulon. Elle l'analyse de la fa?on suivante : ? Dans le passé, [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] la jeune fille [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] [url=http://www.fjzzxxx.com/E_GuestBook.asp]moncler ou[/url] entrait voilée à l'?glise, aux bras de son papa. Elle perdait alors le nom de son géniteur, récupérait celui de son mari et sortait dévoilée de l'?glise. C'est très important au niveau ?dipien. Si une femme refuse de quitter le nom de son père, c'est qu'elle [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] estime inconsciemment que son mari n'est pas à la hauteur de la représentation qu'elle a de son père ! ?Le mari serait ainsi considéré comme un ? succédané ? de celui-ci. Il y aurait chez ces [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] femmes, la peur de perdre ? l'identité de petite fille pour grandir. ?
Elles se marient mais souhaitent conserver leur nom de jeune fille, au nom de leur fidélité au père, à leur culture. L’important n’est pas [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour pas cher soldes[/url] là, selon une psychogénéalogiste
Raconter les histoires du passé

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