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"Je n'ai pas voté Ennahda, et pourtant je considère que ce n'est pas lui qui a détruit l'économie tunisienne, mais la gauche et les syndicats. Ennahda est seulement coupable de n' pas su leur résister", assène M. Chakroun, déplorant [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] que les islamistes n'aient qu'un souci : "se au pouvoir", et l'opposition de gauche un [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] seul leitmotiv : "Tout sauf Ennahda !"
Pour , économiste en chef pour la Tunisie à la Banque mondiale, le pays va sans un "grand défi" : se un nouveau modèle de développement. L'ancien système institué par Ben Ali, fondé sur une croissance off-shore, à faible [url=http://www.newing.ne.jp/cgi-bin/tkbbs1/tkbbs1.pl]www.mansmanifesto.com Grèce [/url] valeur ajoutée, et sur un système de privilèges, est dépassé, estime-t-il. Il va dans un modèle reposant "sur la concurrence et le mérite", seul moyen d' une économie compétitive et pas seulement "d'ateliers de montage". Pour lui, le tournant va être difficile, mais il y a urgence. Sinon, prévoit-il, la Tunisie s'enfoncera dans ses problèmes de ch?mage et de jacqueries avec tous les risques d'un dérapage généralisé.
Dans son bureau face à la Kasba, , le ministre des (du parti Ettakatol, gauche), tente de dédramatiser les choses : "La situation est difficile, mais en aucun cas catastrophique. Nos réserves de change sont toujours de trois mois d'importations. Quant au bassin minier de Gafsa, le pire est passé : 80 % de la production et de l'exportation des phosphates ont déjà repris." Pour lui, l'heure est "au politique" et il ne faudrait pas "b?cler la dernière ligne droite", au [url=http://www.jimodianping.com/fenlei.php?act=member&ac=manage&op=add]barbour uk Profit Siege Review - Training Series For Aggressive Online Dollars Producing[/url] motif que l'économie p?tit de cette transition chaotique.
L'HEURE EST "AU "
Annoncé début juin, le [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] plan d'aide de 1,7 milliard de dollars [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] du FMI ne rassure [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] pas vraiment les économistes. "Si cet emprunt va à l'investissement, c'est une bonne chose. Mais, s'il sert à la , c'est inquiétant. Or, l'après-midi même de l'accord passé avec le FMI, le 8 juin, nous avions commencé à décaisser 150 millions de dollars pour le budget, preuve que nous traversons de sérieuses difficultés !", s'inquiète , professeur d'économie à l'université de Sousse.
Hommes d'affaires et entrepreneurs ne [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]giubbotti peuterey[/url] disent pas autre chose. Nasr , directeur du groupe d'ingénierie informatique 3S, n'a pas de mots assez durs pour la classe politique tout entière, accaparée par l'élaboration de la nouvelle Constitution, le regard rivé sur les élections générales qui devraient se dans le courant de 2014.
UN TENDU

Ils ont envahi des quartiers entiers de la capitale tunisienne. Chaque mois, leur nombre grossit. Des milliers de vendeurs à la sauvette squattent les trottoirs de Tunis, proposant aux passants toutes sortes d'articles : tee-shirts, lunettes, ustensiles de cuisine... Tous made in China. Dans certains secteurs, ils sont tolérés. Dans d'autres, ils sont interdits et déménagent précipitamment chaque fois que la fait son apparition.
A elle seule, la Caisse générale de compensation (qui amortit le co?t des produits de première nécessité mais tout d'abord celui des carburants) absorbe désormais un cinquième du budget de l'Etat. Un niveau "insoutenable", estime l'actuel gouverneur de la Banque centrale, , qui dit un regret : que les autorités de transition n'aient pas adopté une économie d'austérité au lendemain de la révolution, en janvier 2011. "On a même fait le contraire !", bl?me-t-il, en allusion aux larges augmentations de salaire et aux recrutements de fonctionnaires.
Bien que critiqué, le secteur informel constitue une soupape de sécurité dans un pays où le ch?mage frappe officiellement 17 % de la , mais 50 % dans les régions de l'intérieur et plus encore chez les .
Un peu plus de deux ans après la chute de , l'économie peine à redécoller. La Tunisie [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] est cependant loin d'être "la nouvelle Grèce", de l'aveu même du Fonds monétaire (FMI). Mais les 4 % de croissance annoncés pour 2013 par le gouvernement – une coalition dirigée par les islamistes d'Ennahda – seront [url=http://www.bankonco.com/hollister.php]hollister france[/url] bien difficiles à , estiment les observateurs. Plus réaliste à leurs yeux serait 2,7 %.
Lire (édition abonnés) :
Entre sa croissance atone, une inflation jamais enregistrée jusque-là (6,5 %), la dépréciation du dinar et des investissements au point mort, la Tunisie accumule, ces temps-ci, les difficultés. Le climat n'est pas explosif, mais il est tendu. "Avec le ralentissement du tourisme et la production de phosphates paralysée par les grèves, on perd chaque année entre 1,5 et 2,5 milliards de dollars [entre 1,1 milliard et 1,9 milliard d'euros], souligne Nabli, ancien gouverneur [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] de la banque centrale. Bien s?r, la crise en ne nous pas, mais l'essentiel de nos problèmes est d? à notre situation interne."
Le Monde.fr a le [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de [url=http://my.cigarlead.com/home.php?mod=space&uid=15839&do=blog&quickforward=1&id=331142]hollister france Understand How To Import Export A[/url] [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] tous les articles réservés du Monde.fr en
Dans toutes les grandes agglomérations tunisiennes, le même phénomène se reproduit. L'économie souterraine explose. " ?a tue le commerce, mais aussi l'économie. C'est la plaie de la d'aujourd'hui !", [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] tempête Fadhel, directeur de , une société de conseil en publicité.