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Thèmes ardus
emporta à l'?ge de 68 ans, en 2004, reste la référence en matière de flamenco depuis le début des années 1980. Dans son pays comme à l'étranger. Pour les aficionados, le grand public et les chorégraphes. Une combinaison magique.
Des figures aussi différentes et contrastées que et perpétuent chacun à leur fa?on cette passion pour le [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] récit transmise par Gades. Enfant, Sara Baras a rêvé d'interpréter la Carmen de Gades. Lorsqu'elle crée sa compagnie en 1998, elle se distingue en chorégraphiant des pièces à de livrets évoquant des héro?nes excessives, des histoires d'amour qui saignent. Avec audace et talent. En 2000, Juana la Loca met en scène la reine Jeanne la Folle (1479-1555), qui fut enfermée dans un monastère par l'homme qu'elle aimait. En 2002, Mariana Pinada évoque une femme qui fut exécutée en 1831 pour refusé de son amant. Enfin, [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] Carmen, en 2007, qui restera cinq mois à l'affiche à Madrid, se risque dans les traces de celle de Gades. Sans réussir à la déboulonner.
A l'opposé de ce de plus en plus efficace avec le temps et le succès, Israel Galvan, repéré en 2005 avec son solo La Edad de oro, a essoré le flamenco sans le de ses tripes pour une écriture affolante de rebondissements. [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] Parallèlement, il ose aussi se à des thèmes ardus et [url=http://www.achbanker.com/homes.php]www.achbanker.com/homes.php[/url] à priori indansables. En 2009, El Final de este estado de cosas, redux, créé au , avec trois groupes de musique dont un de heavy metal, trouvait la voie mystérieuse d'une apocalypse intimement dangereuse et pourtant [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] universelle.
Avec Lo Real/Le Réel/, Galvan crée un nouveau choc en décidant d'évoquer pendant plus de deux heures l'extermination des Gitans dans les camps nazis. Et fait la preuve violemment perturbante que le flamenco peut tout .
L'image d'un flamenco masculin électrique et puissant colle à Gades. Elle ne représente qu'une minuscule parcelle du formidable apport de ce chorégraphe au flamenco. Au tournant des années 1970, Gades, qui [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] conna?t un succès sans précédent en 1969 à Paris, pose le socle d'un flamenco thé?tral plongeant dans des scénarios increvables comme ceux de Noces de sang (1974), d'après la pièce de Lorca ou, plus tard, de Fuenteovejuna (1994), basé sur celle de . Il arrache au [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] passage son déguisement folklorique au flamenco pour lui une silhouette [url=http://www.cslx.com/bbs/read.php?tid=41310]barbour Targeted Traffic - Widen Your Target[/url] acérée, virtuose, qui sait des histoires à travers les codes [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk[/url] de la danse. Sa collaboration avec le cinéaste Carlos Saura - Carmen voit d'abord le jour au en 1983 avant de la même année un spectacle avec Cristina Hoyos en vedette - le fait sur le podium des stars internationales.

Le Monde.fr a [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] le plaisir de vous la lecture de cet article habituellement réservé aux abonnés du Monde.fr.Profitez de tous les articles réservés du Monde.fr en [url=http://www.achbanker.com/homes.php]hollister[/url]
Gades, dont une photo de jeunesse illustre la publicité sur les murs du métro parisien pour sa compagnie, [url=http://www.nsl.co.jp/jinzai/postmail.cgi]abercrombie milano Un don Qui[/url] à l'affiche du Palais des congrès à du 26 décembre, est un mythe. On le reconna?t sans vraiment qui il est ; on ne le conna?t pas mais on l'a déjà vu ; on le croit encore vivant sans jamais assisté à aucun de ses spectacles. Un mythe, quoi !
Cette ligne chorégraphique et thé?trale va les plateaux flamenco jusqu'au début [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] des années 2000. Au risque de l'académisation, du cliché, de la surcharge. L'avènement d'une nouvelle génération, celle des , , , Andrès Marin..., a [url=http://www.nxluhu.com/guestbook.asp]hollister[/url] explosé les stéréotypes. Renouant avec la danse pure en disséquant l'écriture du geste, ce flamenco nouveau ne se prive [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] pas pour autant d'appuis narratifs quand il le désire.