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Patrick Artus, directeur de la recherche de Natixis, [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler[/url] renchérit : "L'un des faits majeurs, c'est [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] la chute des placements financiers, qui ont perdu 15 milliards d'euros sur le seul 3e trimestre 2011. Tout s'est effondré, sauf les dép?ts à terme !, explique [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] M. Artus. Ces [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] placements ont chuté parce que les crédits se sont effondrés, passant de +22 milliards d'euros au 2e trimestre à +7 milliards au 3e trimestre !"
Où donc est allé l'argent ? Cette équation constitue l'une [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] des inconnues de la conjoncture. L'une des clés pour les évolutions de 2012. Les économistes s'appuient sur [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] le 3e trimestre 2011 pour une réponse. "Le d'achat et les revenus augmentent plus lentement. Les classes moyennes sont étranglées par les dépenses contraintes. Elles puisent dans leur épargne liquide, pour les fins de mois voire les ", explique Régis Bigot, directeur au de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie (Crédoc). "Il n'y a pas de trou noir, poursuit-il, il y a quand même de l'argent qui va dans l'épargne, notamment vers le Livret A, un placement plus s?r que l'assurance-vie, placée en dettes d'Etat".
Pour l'économiste, le taux d'épargne restera élevé, dans la tradition fran?aise. D'autant plus que la crise renforce la défiance vis-à-vis de l'excès de dette.
"En conséquence, conclut M.Artus, qui rassemble les pièces du puzzle, nous aurons une épargne financière (les placements financiers moins les crédits) plate... Il ne faut pas se au taux [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] d'épargne, qui ne représente pas les placements financiers."
Ces comportements de crise, déjà observés en 2008-2009, sont susceptibles de les grands équilibres macroéconomiques. Alors que, fin 2011, l'asssurance-vie a souffert, que les autres produits d'épargne n'en ont pas profité à due proportion (ni les OPCVM monétaires, ni le Livret A, en dépit d'une année 2011 record), que les petits actionnaires ont déserté la (- 2,2 millions d'actionnaires individuels de 2008 à 2010, selon une étude TNS Sofres), et que les transactions immobilières stagnent, le taux d'épargne des ménages - leur épargne brute (investissement en et épargne financière) rapportée à leur revenu disponible brut - [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] a atteint un pic à du 2e trimestre 2011, au-dessus de 17 %.
, a [url=http://www.youyoule.cn/space.php?uid=7&do=blog&id=35764]jordan pas cher Inadequate Commercial Insurance Ca[/url] connu, d'ao?t à décembre 2011, cinq mois de "décollecte" consécutifs. Les [url=http://www.523bb.com/forum.php?mod=viewthread&tid=2951&fromuid=1670]boots ugg pas cher Le prix de lessence à la pompe devrait continuer de baisser[/url] retraits ont excédé les dép?ts.
Cyril [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] Blesson, directeur de la recherche chez , pointe, pour sa part, le lien entre la chute des [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] placements financiers et la baisse des crédits. "Les ressources venues du crédit se tarissent. Cela fait les placements financiers, constate-t-il. On était sur une tendance de 150 milliards d'euros l'an, on tombe à 100 milliards. C'est un recul significatif."
D?FIANCE
Poussés par les banques - priées par leur régulateur de leur base de dép?ts -, les Fran?ais ont privilégié les de court terme, immédiatement mobilisables (comptes à terme, , etc.). Peinant à leurs fins de mois, ou désireux de leur d'achat malgré la crise, ils ont aussi puisé dans cette épargne "longue". Ainsi, près de la moitié des retraits sur l'assurance-vie (48 %) sont allés dans la , contre 13 % vers d'autres placements financiers !
Les déboires de l'assurance-vie, surveillés de près par un gouvernement attentif aux flux et reflux de l'épargne de long terme, sont emblématiques de la crise. Inquiets pour l', face à la montée du ch?mage, les ménages ont modifié leur comportement d'épargne.
Selon les chiffres dévoilés jeudi 26 janvier [url=http://hen.hxcntv.cn/guestbook.asp]barbour 70[/url] par la Fédération fran?aise des s d'assurances (FFSA), la décollecte est allée croissante : les - 300 millions d'euros d'ao?t sont devenus - 1,8 milliard en septembre, - 2 milliards en octobre, - 2,6 milliards en novembre... pour l'année à - 3,8 milliards [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] !
Du jamais vu dans l'histoire de ce placement, dont l'encours s'établit toutefois au niveau élevé de 1 362 milliards [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] d'euros, au-dessus de 2010 (1340 milliards), gr?ce à un bon premier semestre.