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Posted: Mon 9:17, 23 Sep 2013 Post subject: barbour sale Jaoui - Bacri On bouge, on caricat |
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A. J. : Oui, mais souvent après coup. Tous les personnages que j'interprète sont évidemment un bout de moi. Mais tout le monde s'en fout.
J.-P. B. : Pourquoi pas ?
Agnès Jaoui, comment vous est venue l'envie de réaliser, et pourquoi [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] pas à deux ?
A. J. : [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler[/url] J'ai longtemps été sur la défensive, et persuadée de détenir la vérité. Je le suis beaucoup moins. On nous a reproché, à juste , de des le?ons. Il faut l'.
L'intimité et la création, ce n'est donc pas une question vaine. Dans les deux sens d'ailleurs, tant [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/]hollister pas cher[/url] on a l'impression que la création a aussi constitué votre vie de couple.
. Agnès Jaoui et Jean-Pierre Bacri, acteurs, se rencontrent, [url=http://www.fxzhe.com/forum.php?mod=viewthread&tid=795498]www.vivid-host.com/barbour.htm A quand un manga Prix dAngoulême[/url] en 1987, sur [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] le plateau de L'Anniversaire, une pièce d'Harold .
Le scénario est-il pour vous un document intangible ?
J. -P. B. : Moi, des le?ons, je suis prêt à en encore, dans le monde qu'on vit. Mais c'est vrai, on bouge, on caricature moins, on essaie de .
Reconnaissez-vous une part autobiographique dans votre ?
A. J. : [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] Non, c'est assez nouveau en fait.
Lire aussi :? du film, par .
A. J. : Je veux que personne ne l'a vraiment remarqué.
J.-P. B. : Pas moi. Nous avons beaucoup de choses en commun, mais nous sommes aussi très différents. Agnès est inquiète quand elle a moins de trois rendez-vous dans la journée. Moi, je suis angoissé à l'idée d'en plus d'un. Donc, la réalisation, pas pour moi.
J.-P. B. : Comment ?a tout le monde s'en fout ?
A. J. : Je suis étonnée quand même que Le Monde s'intéresse à notre .
"Au bout du conte" est un film qui règle comme d'habitude ses comptes avec l'illusion, mais qui contient une douceur, une acceptation du monde qui lui confèrent une émotion nouvelle.
J.-P. B. : Les dialogues en tout cas, c'est de l'airain. Après, de temps en temps, une petite impro gracieuse n'est pas interdite, mais [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] ?a reste rare.
LA [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] BANDE-ANNONCE
Vous avez [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] longtemps formé un couple à la ville et à la scène. Quels avantages et quels inconvénients à cette situation, du point de vue de la création ?
A. J. : C'est notre collaboration artistique qui est spécifique, pas le fait d'être ensemble.
C'est la question des interférences entre intimité et création qui est intéressante, pas votre vie privée. Comment se répartissent les r?les pour l'écriture ?
A. J. : C'est une idée qui a cheminé doucement. Quand Gaumont nous a proposé d'adapter Cuisine et dépendance, ils nous ont demandé qui nous souhaitions comme réalisateur. J'ai dit .
: Il n'y [url=http://bowling.s52.xrea.com/i/epad/epad.cgi?res=426]peuterey outlet Dassault et l[/url] a pour moi aucune incompatibilité.
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C'est une cristallisation non seulement amoureuse, mais aussi artistique. Malgré leur carrière individuelle, ils ne seront jamais aussi forts qu'à deux, sous la double casquette [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] de scénaristes et d'interprètes. Cela commence sous les auspices d'autres metteurs en scène (Cuisine et dépendance, de , 1992 ; On conna?t la chanson, d', 1997). Cela continue avec Agnès Jaoui à la réalisation dès Le Go?t des autres (2000). Le des "Jabac", comme les a dr?lement nommés Resnais, se reconna?t : humour grin?ant, partition chorale et stigmatisation des travers sociaux. Au bout du [url=http://www.bianchi.cn/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=1999425]hollister outlet sale Bercy sattaque aux 4×4 et grosses berlines utilitaires[/url] conte, heureuse surprise, est leur film le plus fragile.
J.-P. B. : Nous partageons des valeurs, nous avons un fond commun. C'est ce qui nous pousse à écrire à deux. Etre un couple ne change rien. D'ailleurs, rien n'a changé à notre collaboration depuis que nous ne sommes plus ensemble : c'est donc anecdotique.
A. J. : ?a m'a donné à réfléchir.
A. J. : Naturellement. On sait tacitement ce dont on peut et ce [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] dont on ne peut pas . Il y a des [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] choses qui sont trop à vif.
J.-P. B. : On creuse d'abord le thème. Les personnages viennent ensuite. Il y en a toujours beaucoup. On les prend dans notre entourage, partout où on peut. On écrit [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] l'histoire de chacun, et ensuite on les croise.
A. J. : Je note plus que lui, c'est vrai.
J.-P. B. : On aurait dit , ?a aurait fait la même sensation.
J.-P. B. : Concrètement, on se met d'accord sur un sujet, on prend tous les deux un carnet et un stylo et on note des choses. Agnès note plus t?t que moi.
A. J. : Oui, parce que ce sont des émotions qu'on partage. Et puis je n'aurais jamais voulu être seule pour tout ?a. La notoriété isole, . Avec Jean-Pierre, il n'y a pas de malentendu.
J.-P. B. : Non, moi, j'attends qu'on tienne quelque chose avant de .
Agnès Jaoui : Je ne vois pas le rapport.
Sur le Web : .
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