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"PERSONNE N'A INT?R?T ? L'?CHEC DU GOUVERNEMENT"
L'ancien président du Sénat, Gérard Larcher, juge ces craintes excessives. "A mon avis, il n'y aura pas de vraies difficultés", estime le sénateur (UMP) des Yvelines. "Personne n'a intérêt à l'échec du gouvernement", corrobore l'ancien premier ministre . Mais personne n'est s?r que cet avis soit partagé par tous.
La [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] mise à l'épreuve de la majorité ne va pas , avec l'examen, à du 22 octobre, du "paquet européen" – ratification du traité sur la stabilité, la [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] coordination et la gouvernance (TSCG) et de loi organique de pilotage des publiques. Si débat il [url=http://www.ttcarpets.co.uk]mulberry outlet[/url] y a dans les rangs de [url=http://www.boyntonbusiness.com/hollistersoldes/]hollister france soldes[/url] la [url=http://www.boyntonbusiness.com/hollisterpascher/]hollister pas cher[/url] gauche, à l'Assemblée nationale, la majorité absolue dont y dispose le PS met, en principe, le gouvernement à l'abri de mauvaises surprises. [url=http://www.riad-marrakesh.fr]abercrombie pas cher[/url] Il n'en ira pas forcément de même au Sénat.
Il n'y aura donc pas une majorité de gauche, au Sénat, pour la ratification du TSCG. Le gouvernement sait, cependant, sur ce texte, sur l'assentiment de la droite et du centre. "Soyons logiques, assure Philippe Marini, le président (UMP) de la commission des finances. Le TSCG [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html]giuseppe zanotti[/url] a été négocié par et nous l'avons défendu. avait dit qu'il renégocierait le traité, il n'a pas été en mesure de le . En termes de cohérence , il faut ce que nous avons défendu."
, avaient pris place sur les bancs du gouvernement, jeudi 13 septembre au Sénat, pour la première séance de questions d'actualité de cette rentrée parlementaire. Les membres du gouvernement ont en outre re?u la consigne de à , , , dans leurs domaines respectifs, les différents partenaires de la majorité sénatoriale. Signes de l'attention que porte l'exécutif à ses alliés dans cette Chambre où la moindre défection suffit à la majorité en péril.
MARIE-NO?LLE LIENEMANN VOTERA CONTRE
A quelques exceptions près, dont , sénateur du Territoire de Belfort et président [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4pcs-LED-Tyre-Tire-Valve-Caps-Neon-Lights-Bike-Car-New-/220639832483]www.fayatindia.com/giuseppe-z[/url] du Mouvement républicain [url=http://bbrshop.eu/profile.php?uid=1]doudoune moncler pas cher Uggs Footwear Proceed To[/url] et citoyen (MRC), le groupe RDSE approuvera l'ensemble du "paquet européen". Quant au groupe écologiste, il semble s', au moins sur [url=http://www.villazuki.it]woolrich sito ufficiale[/url] la ratification du TSCG, vers un vote négatif. "Sur le traité, je sais ce que j'en pense, je sais qu'il y a une large majorité à pour ne pas le et que ce ne sera pas crucial pour la majorité, confie Jean-Vincent Placé, le président du groupe écologiste. Sur la loi organique, je ne peux pas me sur un texte que l'on ne conna?t pas encore."
"IL FAUT CE QUE NOUS AVONS D?FENDU"
On [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] n'épiloguera pas [url=http://www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html‎]www.fayatindia.com/giuseppe-zanotti.html‎[/url] sur la particularité du scrutin public au Sénat, ésotérique et désuet, qui autorise un délégué à pour l'ensemble des membres de son groupe, qu'ils soient présents ou non, selon les consignes qui lui ont été données. Avec les conséquences qui en résultent si un groupe minoritaire choisit de se , sur un vote, de la position majoritaire.
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Les élections sénatoriales de septembre 2011 n'ont donné à la gauche qu'une courte majorité de six sièges : 177 contre 171 à la droite et au . La gauche se répartit entre quatre groupes : socialiste (128), communiste, républicain et citoyen (CRC, 21), Rassemblement démocratique et européen (RDSE), essentiellement composé de radicaux de gauche (16 de ses 17 membres) et écologiste (12). Ces trois derniers [url=http://www.rtnagel.com/louboutinpascher.php]louboutin[/url] ont le statut de "groupe minoritaire". L'opposition compte 132 sénateurs , [url=http://www.tileproject.net]barbour sale[/url] 31 membres de l'Union centriste et républicaine (UCR), 7 non-inscrits et 1 RDSE (Rassemblement démocratique et social [url=http://www.mquin.com/pjsdoudoune.php]doudoune parajumpers[/url] européen).
En ira-t-il de même pour le projet de loi organique sur les finances publiques ? L'avant-projet a été transmis au et il doit être présenté en conseil des ministres mercredi 19 septembre. Nul n'a encore eu connaissance de sa rédaction définitive, ce qui soulève, à droite comme à gauche, des interrogations [url=http://www.lotogame.fr/hollisterfrance.php]www.lotogame.fr/hollisterfrance.php[/url] et ne permet pas de totalement les incertitudes sur les positionnements [url=http://www.akazame-oyaji.com/cgi-bin/joyful/joyful.new.cgi]www.lotogame.fr/hollisterfran[/url] [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] que les uns et les autres adopteront.
M. Marini juge cette situation préoccupante. Avec son homologue de l'Assemblée, , et les deux rapporteurs généraux des commissions des finances, et Fran?ois Marc, ils devraient être re?us en début de semaine par et pour se le texte de loi.
Le groupe socialiste lui-même ne parviendra probablement pas à éviter les divergences en son sein. A l'instar de Marie-No?lle Lienemann, sénatrice de Paris, irréductiblement opposée à la ratification du traité européen. De même que le groupe CRC, qui campe sur une position de refus, ce qui a conduit l'ancien secrétaire général du PCF, , à présent sénateur du Val-d'Oise et président du Mouvement unitaire progressiste (MUP), à , jeudi, sa décision de siéger désormais avec le RDSE.
M. Marini met en garde contre les "risques de blocage". "En aucun cas je ne me rangerai à la politique du pire, affirme le sénateur de l'Oise. J'ai une approche globalement favorable à l'égard de ce texte dans son principe. Mais si je veux entra?ner le groupe, il faut que j'aie des arguments. Encore faut-il que l'exécutif se mette un peu en frais."