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Leur [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] sujet, Leonard Cohen, par des chansons tirées de sept de ses albums, paru entre 1971 et 1992, avant que le Canadien, n'arrête durant une dizaine d'années ses activités. Des chansons qui, en dehors de Take This Waltz et The Partisan, ne sont pas les plus connues de Cohen. Il y a même Memories, un extrait de Death of A Ladies'Man, enregistré en 1977 avec le producteur Phil Spector : un disque fou, débordant d'arrangements [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] dont Cohen ne veut plus - il a tort - au point de l' dans les récents concerts.
Si Cohen et Dylan ne sont pas sur la scène du Thé?tre Paul-Eluard, qui fait salle comble, leurs univers musicaux sont en tout cas bien présents. En particulier en première partie de soirée, avec le [url=http://bbs.3737.com/memcp.php]peuterey Some Methods To Discover Cheshire Job Vacancies[/url] chanteur et guitariste américain Kid Dakota et le quartette du Minesotta Fantastic Merlins et leur disque How The Light Gets In.
, fondateur et producteur [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] de l'inventive compagnie phonographique Nato, explique qu'"il n'y a pas eu de volonté initiale de deux projets parallèles sur ces deux grandes figures du folk-rock". Soit Leonard Cohen, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] né le 21 septembre 1943 à Montréal (Québec) et Bob Dylan, né le 24 mai 1941 à Duluth (Minnesota). "Ils se sont plut?t retrouvés ici ensemble en [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] venant de chemins bien différents, initiés à des époques différentes." [url=http://forum.vpszone.com/index.php?p=/discussion/16621/nike-air-jordan-pas-cher-using-the-easy-banner-creator-you-will-be-able-to-make]nike air jordan pas cher Using The Easy Banner Creator You Will Be Able To Make[/url] Et ici, c'est sous forme de disques, qui viennent de para?tre chez Hopestreet-Nato/L'Autre Distribution et d'un concert de présentation dans [url=http://www.scsdxdaj.com/guestbook.asp]giuseppe z[/url] le cadre du festival Sons d'hiver, vendredi 5 février.
Au tour de Dylan, joué en trio mené par le guitariste américain Jeff Lee Johnson qui s'appuie sur le disque The Zimmerman Show. Là, les thèmes sont [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] plus connus. Traités sur le rock (Hendrix et le groupe Cream ne sont pas loin) et dans l'improvisation. Le groupe réussit à le c?té [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] je m'en-foutiste de Dylan avec des chansons dont il ne garde parfois [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] même pas la trame en concert. Dylan et l'électricité, c'est une histoire d'urgence, de concision aussi. Cet aspect est malheureusement dilué dans des passages instrumentaux pas vraiment déterminants, trop longs et surtout sans direction.

Festival Sons d'hiver, dans treize villes du [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] Val-de-Marne, jusqu'au 20 février. Prochains concerts : Living Color et The Last Poets, le 6 février, Thé?tre Jean-Vilar, Vitry-sur-Seine; Michel Edelin Trio, Roscoe Mitchell Quartet, le 9 février, Espace culturel André-Malraux, Le Kremlin-Bicêtre; James Sallis, le 11 février, Le Hangar, Ivry-sur-Seine... Tél. : 01-46-87-31-31. De 13 [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] ? à 23 ?. Entrée libre le 11 février. Sur le Web : .
Le Kid et les Merlins abordent Cohen [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] avec une agréable sagesse - presque trop par moments -, dans l'étirement du tempo (Famous Blue Raincoat) en jouant [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] sur l'alliance de la contrebasse et du violoncelle ou des blues d'où s'échappe un saxophone, avec un grain r?peux. La voix douce, presque parlée parfois, de Kid Dakota s'approche de l'aspect mélancolique de celle de Cohen. Mais surtout elle rappelle sa part de lyrisme, son jeu mélodique avec les mots. C'est joué avec beaucoup d'élégance, peut-être un rien trop retenu et proche du disque pour un passage à la scène.