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C'est souvent parce que leur terre natale leur offre certes un emploi, mais pas dans leur [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] branche, que les étudiants de l'ICAI décident de . Un phénomène que la presse qualifie de "fuite des cerveaux". David Alonso a franchi le Rhin "parce que l'emploi en ingénierie dans l' est presque nul en Espagne". Il a signé son contrat avant de Ratisbonne, à 80 km de Munich, et se dit très satisfait.
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En 2010, 8 % des anciens dipl?més de l'ICAI, une école d'ingénieurs madrilène cotée dépendant de l'université pontificale de Comillas, résidaient en dehors de l'. En 2012, ils étaient plus de 13 %. Et si [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] l'on ne tient compte que des étudiants des trois dernières promotions (2010, 2011 et 2012), ce sont 23 % de ces qui vivent à l'étranger.
Madrid, correspondance. On leur a promis qu'ils feraient partie de l'élite de demain, que, leur dipl?me [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] en poche, un leur était assuré dans une entreprise solide avec un salaire attrayant. Ces jeunes Espagnols ont donc passé les tests d'admission dans une grande école d'ingénieurs, privée et reconnue. Leurs parents ont investi [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] pas moins de 10 000 euros par an dans leur formation. Mais à la sortie, la crise les attend eux aussi. Pas aussi cinglante, loin de là, que pour des étudiants issus d'une formation moins prestigieuse et d'un réseau moins implanté dans les grandes . Mais suffisamment dure pour près [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] d'un quart d'entre eux à bagages.
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"EXIL PROFESSIONNEL"
D'autres n'ont pas encore franchi le pas de l'expatriation, mais y songent sérieusement. Malgré "un bon poste", A., qui préfère l'anonymat, dit être tenté de "pour gagner probablement deux fois [url=http://park15.wakwak.com/~haruka/cgi-bin/off/yybbs.cgi]barbour uk outlet SOS chômage[/url] plus". "Les entreprises profitent sans vergogne de la conjoncture économique pour de manière drastique les salaires de début de carrière, de 30 % en moyenne", ajoute-t-il.
Ivan Alonso ne veut pas comme consultant comme la plupart de ses amis. Il finit un master et cherche à en Espagne dans l'énergie, son rêve. Pour le moment, il a fait chou blanc. "Si je devais , je le considérerais comme un exil professionnel, puisqu'après une formation considérable, je n'aurais pas eu [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] la chance de démontrer ma valeur dans ma [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] propre patrie."
On retrouve aussi en Artal, qui travaille chez Areva, un choix "bien meilleur pour carrière". Il énumère les avantages : salaire plus élevé, horaires plus raisonnables, emploi de qualité. Il espère un jour à Madrid, mais pas tout de suite : "Il faut être réaliste, à présent, je ne l'envisage même pas."

Patricia Gimenez, elle, est déjà revenue. Après quelques mois au Chili et en Californie, elle [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] a trouvé un emploi de consultante technologique. Elle [url=http://aquatwins.com/bbs/index.cgi/index.cgi]nike air jordan pas cher Croi[/url] voulait d'entreprise. "La plupart des étudiants [url=http://cgi.din.or.jp/~ebikko/cgi-bin/beat/mania.cgi]moncler outlet The North Dall[/url] de notre promotion sont consultants. C'est là qu'il y a le plus d'emplois ici, explique-t-elle. En revanche, ceux qui veulent dans l'ingénierie partent."
Comme I?igo Mato, qui développe une application pour à Santa Monica, en Californie, dans une start-up fondée par un Espagnol, Kuapay. "Je n'avais pas prévu de mais on m'a proposé de trois mois, puis de ." Même si sa petite amie, demeurée à Madrid, lui manque, il ne souhaite pas avant quelques années. "Je ne pense pas que je pourrais autant d'expérience en Espagne [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] dans mon domaine : recherche et développement en ingénierie informatique", raconte-t-il au Monde.
Avec la crise, les entreprises espagnoles misent sur leurs projets en Amérique latine, [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] aux Etats-Unis ou en Asie, et y envoient généralement leurs propres ingénieurs. Ignacio Martin travaille ainsi en du Sud dans une entreprise espagnole d'énergies renouvelables. était un souhait pour lui, une fa?on de s' professionnellement, même si, [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] comme il le dit à un journal de Malaga, la ville où il a grandi, il espère qu'un jour les jeunes Espagnols "auront le choix de ou non".
A de rares exceptions près, tous les élèves de la [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] promotion 2012 ont trouvé un travail. Pour 80 % d'entre eux en Espagne, malgré un taux de ch?mage de 27 % de la active et de 57 % chez les moins de 25 ans. Souvent en faisant une croix sur "leurs aspirations profondes", reconna?t un ancien élève. Les autres travaillent en , au , au , au , en , en , au , aux ou aux Etats-Unis.