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En effet, avec [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] 0,6 % de hausse par rapport au premier trimestre, le produit intérieur brut (PIB) progresse de 2,6 % en rythme annuel, quand les analystes s'attendaient à 3,6 %. Autre déception, la croissance du PIB au premier [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] trimestre a été révisée à la baisse, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] à 3,8 % au lieu des 4,1 % annoncés.
Pour plus loin :
A l'étranger, où l'on fait preuve d'une certaine indulgence en raison du co?t faramineux de la catastrophe de mars 2011, les appels à la consolidation se multiplient. Pour son sommet de septembre, le G20 attend que Tokyo lui soumette un plan solide dans ce sens.
Seul problème, aucune mesure concrète n'est pour l'instant prévue. Même le doublement de la taxe sur la consommation, aujourd'hui de 5 %, qui doit à 8 % en avril 2014 et à 10 % en octobre 2015, n'est pas confirmé. M. Abe redoute son impact sur la reprise, comme cela avait été [url=http://aspenvale.com/component/blog/comments.html?pid=4265]barbour The Downsides Involved In Genital Psoriasi[/url] le cas lors de la précédente hausse en 1997.
C'est la (+ 0,8 %) qui a été le moteur [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] de cette progression, alors que les investissements privés ont reculé [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] (– 0,1 %) pour le sixième trimestre consécutif. Et ce, [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]boots ugg pas cher[/url] en dépit du d'optimisme suscité par les vigoureuses mesures de relance mises en place par M. Abe depuis son retour au en décembre 2012, un cocktail de soutien massif à l'activité et de d'assouplissement monétaire agressive.

Le doublement de la taxe sur la consommation n'empêcherait pas la balance primaire de déficitaire de 2 % à l'exercice 2020. Si ce n'est plus, car ces estimations reposent sur une [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] prévision de croissance annuelle à 2 %, que beaucoup d'analystes jugent trop optimiste.
Elle devrait 250 % du PIB en 2013, estime le Fonds monétaire (FMI).
M. Abe a commenté ces chiffres en disant son désir de se "concentrer sur l'économie, y compris sur la mise en oeuvre, à l'automne, de stratégies supplémentaires pour la croissance".
Les institutions internationales, la Banque du Japon et le monde des affaires exhortent le premier ministre à au bout du projet, d'autant plus qu'il l'a lui-même voté en 2012. Sinon, avertit le banquier central, "cela donnera une impression de manque de sérieux. Les marchés pourraient être moins accommodants".
Pour réduire les déficits, le gouvernement envisagerait la réduction des dépenses sociales, en hausse annuelle de 1 000 milliards de yens à cause du vieillissement de la et des subventions accordées à des collectivités locales.
Mais il s'agit de sujets explosifs, car les personnes ?gées et le monde rural sont les [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] premiers soutiens électoraux du gouvernement de M. Abe et sa majorité parlementaire reste divisée sur ces questions.
Les statistiques publiées lundi 12 ao?t à Tokyo sur la croissance de l'économie japonaise [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] au deuxième trimestre ont refroidi les ardeurs du gouvernement du premier ministre, .
Le n'est donc pas encore tiré d'affaires, d'autant qu'il lui reste à à bien des réformes structurelles [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] très attendues. Tokyo devra notamment s' au problème lancinant de la dette publique qui a, selon des chiffres divulgués le 9 [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] ao?t, pour la première fois dépassé la barre symbolique du million de milliards de yens (7 800 milliards d'euros).
Selon une réalisée en juillet par l'agence Bloomberg, le Japon aurait 30 % de chance d' en récession après la hausse de la taxe en 2014 et il aurait besoin d'un plan de 5 000 milliards de yens pour son impact négatif. S'il n'exclut pas un risque de récession, , responsable du Japon pour le FMI, le relativise [url=http://www.czsfl.org.cn/E_GuestBook.asp]barbour sa[/url] : "La hausse de la taxe, a-t-il déclaré le 5 ao?t, ne fera pas dérailler la [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] reprise."
Il avait déclaré, vendredi 9 ao?t, que l'économie entrerait dans "un cycle vertueux". La consommation, qui forme 60 % du PIB, augmenterait, [url=http://hourlyhusband.com/read.php?tid=946837&ds=1]boots ugg pas cher Residence Available 7 Effortless Tips As Well As Guidance Wi[/url] avec des effets positifs sur la production et les salaires. Partant de cette évaluation, le cabinet de Shinzo Abe a revu à la hausse ses prévisions de croissance pour l'année fiscale 2013, de 2,5 % à 2,8 %.
PAS DE RISQUE DE R?CESSION
Jeudi 8 ao?t, le gouvernement a validé un plan prévoyant une réduction des dépenses de 8 000 milliards de yens (62 milliards d'euros) dans les deux années qui viennent. L'objectif est de réduire à 3,3 % le déficit de la balance primaire (les comptes courants hors service de la dette) à l'exercice 2015, qui était à 6,6 % à l'exercice 2010. Le cabinet de Shinzo Abe reste déterminé à à l'équilibre la balance primaire au terme de l'année fiscale 2020.