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Posted: Sun 7:06, 13 Oct 2013 Post subject: hollister outlet sale Sous la suppression dun jour |
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Claire Guélaud
Depuis quelques semaines, ce désir semble fait des émules au sein de la majorité, dont plusieurs hérauts importants se sont exprimés sur le même thème de la "réhabilitation du travail". En pleine crise de la canicule, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] le porte-parole du gouvernement, Jean-Fran?ois Copé, avait ouvert le feu, en affirmant qu'il y aurait "une réflexion à mener" sur les 35 heures, qui posaient selon lui "des difficultés insurmontables" aux h?pitaux - tout en estimant, certes, que leur remise en cause n'était "pas d'actualité" ( Le Monde du 16 ao?t).
Pour s' sur la durée légalement imposée, la plupart des entreprises ont annualisé le temps de travail de leurs salariés, en intégrant dans leur calcul les congés payés et les 11 jours fériés légaux prévus par le Code du travail. [url=http://www.dqzylxx.com/E_GuestBook.asp]abercrombi[/url] Comme c'est le cas pour le lundi de Pentec?te, ces jours fériés sont, dans la plupart des s, à la fois "ch?més" - c'est-à-dire non travaillés - et payés, en vertu [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] d'accords collectifs ou par usage. Si le gouvernement la confirme, la décision de les Fran?ais un jour de plus va obligatoire la révision des règles complexes issues des lois Aubry. Elle ouvre la voie à une renégociation des conventions collectives et des accords d'entreprises. Le Medef, qui appelle avec constance cette réforme de ses voeux y est déterminé ; mais il lui faudrait l'accord des syndicats.
Le Medef en fait une condition sine qua non à l'acceptation de l'effort de solidarité réclamé par le premier ministre. Nul ne sait encore par quel mécanisme les fonds dégagés au nom de la "fraternité nationale", selon l'expression de M. Raffarin, pourront [url=http://www.achbanker.com/hollister.php]hollister france[/url] dans les [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] caisses de l'Etat. Le [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] cadre fixé par le premier ministre ménage en effet deux hypothèses : celle d'un surcro?t de cotisations patronales et celle d'une contribution des entreprises sur la richesse dégagée par cet effort supplémentaire. Les du ministère des examinent actuellement les modalités de la mise en oeuvre de la mesure. Mais en tout état de cause - ainsi que le déclare au Monde l'un des dirigeants du Medef, Denis Gautier-Sauvagnac -, si les chefs d'entreprise sont prêts à y , c'est d'abord parce qu'elle signifie, à leurs yeux, la fin des 35 heures, déjà assouplis par Fran?ois Fillon.
Dans cette perspective, le patronat dispose visiblement du soutien du gouvernement : "Si les renégociations s'avéraient impossibles, expliquait-on jeudi au ministère des affaires sociales, l e législateur pourrait, au nom de l'intérêt général, une modification des textes." Une "disposition d'ordre public " pourrait alors de 7 heures (ou d'une journée) la durée du travail. Autrement dit : dans un cas comme dans l'autre, [url=http://comunidad.deportesevilla.tv/profile.php?user=pfj983ef9&v=comments]Les couples franco-étrangers donnent de la voix[/url] par la négociation ou par la loi, la fin des 35 heures est annoncée.
De facto, la mobilisation des salariés durant un jour supplémentaire va la durée légale du travail en France - actuellement fixée à 35 heures hebdomadaires ou à 1 600 heures par an. Or c'est sur [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] cette durée, au-delà de laquelle les heures travaillées doivent être rémunérées en heures supplémentaires, que sont fondés les accords de branches et d'entreprises négociés à de l'adoption des lois Aubry (en 1998 et en 2000). Deux ministres l'ont confié au Monde, après la publication [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbourparis.php]barbour paris[/url] des déclarations de M. Raffarin, et quasiment dans les mêmes termes : "L'idée du jour férié a au moins un mérite : elle permet de sur les 35 heures." On ne saurait être plus clair.
Le président de l'organisation patronale, Ernest-Antoine Seillière, s'était d'ailleurs bruyamment réjoui, le 27 ao?t, au lendemain de au cours de laquelle, devant les représentants des organismes chargés de l'accueil des personnes dépendantes, M. Raffarin avait lancé l'idée de l'abandon d'un jour férié ( Le Monde du 28 ao?t). S'il jugeait alors ce projet "formidable", M. Seillière [url=http://www.ilyav.com/uggsoldes.php]boots ugg pas cher[/url] mettait en avant son intérêt en matière de durée légale du travail : "L'idée qu'on puisse se qu'on va régler des problèmes en travaillant plus est une grande première en France, en tout cas depuis cinq ou six ans", déclarait-il alors, à l'ouverture de l'université d'été du Medef. Irrité de la prudence avec laquelle le [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti[/url] ministre des affaires sociales, Fran?ois Fillon, s'était saisi du dossier de l' "assouplissement" des 35 heures, le patronat avait bataillé ferme, pendant l'été et l'automne 2002, pour d' une loi qui serait revenue purement et simplement sur la réduction de la durée du travail. "Ce qu'une loi a fait, une autre loi doit le défaire", faisait , en privé, le président du Medef.
une autre. En se pronon?ant ouvertement, jeudi 4 septembre, pour la suppression d'un jour férié - le lundi de Pentec?te a sa préférence - afin de au financement de l' aux personnes dépendantes, Jean-Pierre Raffarin a ouvert la porte à la remise en cause des 35 heures, impatiemment réclamée depuis des mois par le Medef. "L'objectif, [url=http://sxx.hynu.cn/guestbook.asp]lancel pas[/url] a déclaré le premier ministre au Figaro, est que la richesse produite par cette journée supplémentaire travaillée serve au financement d'un dispositif de prise en charge des besoins des personnes vulnérables." Mais il y [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler pas cher[/url] a mis "deux conditions" : que cet effort collectif ne soit pas supporté par "les seuls salariés", mais par "tous les Fran?ais, toutes les " ; que "le produit [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] de cette journée travaillée ne soit affecté à rien d'autre qu'à ce dispositif".
Le 1er septembre, dans Le Parisien, le président du groupe de l'Assemblée nationale, Jacques Barrot, proposait, lui, que la durée du travail soit définie "dans un cadre contractuel", précisant : "La loi devra définir les impératifs de repos et aux partenaires sociaux le soin de négocier eux-mêmes la durée du travail." Jeudi, dans son entretien publié par Le Figaro, M. Raffarin lui-même s'est dit "favorable à [url=http://www.mquin.com/gzparis.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] tout ce qui peut par la voie de la négociation sociale" à propos de la durée du temps de travail et ajoutait "réhabiliter le travail plut?t que l'imp?t".
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