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Seuls huit pays membres ont au final accepté de aux frappes. La décision de l', de la et de la Turquie de ne pas à la force a provoqué de vives tensions. A Bruxelles, lors d'une réunion des ambassadeurs, M. Rasmussen a reproché [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] à plusieurs Etats, sans les , de ne pas le jeu : il évoquait la France, accusée d' rejoint les structures de commandement intégrées tout en tentant de pas s'en ; l'Allemagne, détentrice principale de la flotte d'avions de surveillance Awacs de l'Alliance, qui refusait de les à disposition ; la , qui a refusé de s' contre un pays musulman. Les trois ambassadeurs ont réclamé des excuses.
C'est pourtant le leitmotiv de M. Rasmussen sous le vocable de "défense intelligente" : "Nous devons établir des priorités, nous spécialiser, des solutions multinationales." Le général Stéphane Abrial, commandant suprême allié pour la transformation (SACT), a présenté mercredi des projets concrets de coopération : maintenance des matériels, entra?nement des forces, etc. "Face à la fatigue des opérations et aux problèmes budgétaires, il faut davantage ensemble."
Mais [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]www.thehygienerevolution.com/hollister.php[/url] les Etats-Unis ont fourni 75 % des moyens de reconnaissance, tous les moyens de suppression des défenses anti-aériennes libyennes, et 80 % des moyens de ravitaillement en vol. Sans eux, l'opération s'arrêtait net.
Selon les experts, l'OTAN a conduit une opération de moyenne envergure, dans la zone de voisinage des Européens - avec 230 avions, l'effort représente [url=http://www.0769mtj.com/home.php?mod=space&uid=76925][/url] 10 % de la [url=http://park19.wakwak.com/~takeda-kazu/cgi-bin/bbs/aska.cgi?res=24185]peuterey outlet François Fill[/url] campagne du en 1999.
Les centres de commandement de l'OTAN, par ailleurs en pleine réforme, ont dysfonctionné. Au début de l'opération libyenne, il s'écoulait trois jours entre le repérage d'une cible et sa destruction, un délai ramené à deux heures par la suite. Pourtant certifiés pour la force de réaction rapide de l'OTAN, les QG de [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]www.corsodiesperanto.it/woolrich.php[/url] Poggio Renatico () et d'Izmir (Turquie), "se sont révélés insuffisants", admet le général Abrial. "Il a fallu les compléter, les le?ons sont tirées". En avril, des officiers américains avaient été dépêchés en renfort depuis le commandement aérien de Ramstein.
L'opération a d'abord été administrée par les Américains. Leur volonté de n', à de début avril, qu'un "leadership depuis l'arrière" a placé les Européens devant leurs responsabilités. Une rupture stratégique qui inquiète : certaines capitales craignent qu'après cette guerre l'OTAN se replie sur des interventions plus régionales.
Tout à son partenariat stratégique avec [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] Londres, Paris, de son c?té, a d'abord tenté de l'affaire avec les Britanniques. L'état-major des ées avait proposé une [url=http://www.corsodiesperanto.it/hoganit.html]www.corsodiesperanto.it/hoganit.html[/url] option permettant de les frappes depuis le national des opérations aériennes de Lyon Mont-Verdun et les installations du Mont-Valérien. En juin, Paris a de nouveau été accusé [url=http://www.corsodiesperanto.it/moncleroutlet/]moncler outlet[/url] de cavalier seul en parachutant des armes aux rebelles.
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La "machinerie" otanienne, comme l'a appelée le président fran?ais , a atteint ses buts, [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour online shop[/url] assurait mercredi M. Rasmussen : "Nous avons accompli le mandat des Nations unies de protection des civils." [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] La mission a été "rapide, flexible, efficace". Mais cette guerre "zéro mort", sans troupes au sol, est tout à la fois une démonstration des équipements les plus modernes et un avertissement pour l' : "Ne soyons pas complaisants", a ajouté M. Rasmussen.
"Premier engagement militaire majeur entrepris depuis la globale", comme l'a déclaré en juin le secrétaire général de l'OTAN, Anders Fogh Rasmussen, la campagne libyenne a mis à l'épreuve la cohésion de l'Alliance et a rappelé les lacunes capacitaires des Européens.
L' a-t-elle été performante dans la conduite de l'intervention militaire internationale en ? L'engagement continue, mais l'Alliance atlantique en tire déjà les premières le?ons et en relève quelques inquiétants ratés. Le sujet était à l'ordre du jour de de ses ministres de la , mercredi 5 et jeudi 6 octobre, à Bruxelles.
Cette division "vide de tout sens des politiques b?ties sur la mutualisation des moyens militaires et la division du travail entre Etats [url=http://bbs.ladyest.net/home.php?mod=space&uid=76370][/url] européens", estime Fran?ois Heisbourg, à la Fondation pour la recherche stratégique.
Les manques sont bien identifiés : missiles antiradars, ravitailleurs en vol, moyens de ciblage, moyens de surveillance et de renseignement stratégiques (seuls les [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] Américains ma?trisent la palette avec leurs satellites, leurs U2 et leur drone ) ou tactiques (les Européens manquent de drones de combat).
La solidarité interne est un premier sujet. L'OTAN a pris le commandement de l'opération "Unified [url=http://www.riad-marrakesh.fr]www.riad-marrakesh.fr[/url] Protector" le 31 mars. Les frappes, fran?aises, américaines et britanniques, ont, elles, débuté le 19 mars, avec le feu vert du Conseil de sécurité de l'ONU.