cekyophr5
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Posted: Thu 7:39, 17 Oct 2013 Post subject: jimmy choo paris La richissime héritière d |
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Elle intervient à quelques jours [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] de l'audience pénale devant le tribunal de Nanterre qui examinera, vendredi 11 décembre, la citation directe délivrée par Me , avocat de Mme Meyers-Bettencourt contre le photographe Fran?ois-. Il est reproché à [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]barbour deutschland[/url] ce dernier d'avoir "abusé de la faiblesse" de Liliane Bettencourt pour d'elle des dons - en oeuvres d'art et assurance-vie notamment - évalués à 1 milliard d'euros.
"On a voulu te avec ta et t'éloigner de tous ceux, amis, employés, qui dans ton entourage étaient considérés comme "gênants". Tout cela et ta santé, bien s?r, m'obligent à réagir, à ne pas me résoudre à les yeux et à les choses en l'état." Cette requête a été présentée [url=http://cssa-winchester.org/?page_id=37#comment-65676]Save Money Out Of Season And Short Stay Holidays[/url] le 1er décembre par Me Béatrice Weiss-Gut au juge des tutelles compétent pour Neuilly.
Il avait prudemment conclu que "Liliane Bettencourt présente, au moins depuis septembre 2006, une probable vulnérabilité liée à une vraisemblable affection neurologique dégénérative affectant ses facultés intellectuelles", tout en soulignant qu'il lui était "impossible d'en plus" et qu'il était "indispensable que Liliane Bettencourt soit examinée de fa?on [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/]abercrombie pas cher[/url] approfondie".
La seconde faiblesse tient à l'absence d'expertise neurologique et psychiatrique de Mme Bettencourt, celle-ci ayant toujours refusé de se à la demande présentée par le parquet. L'expert [url=http://www.shewyne.com/peutereyoutlet.html]peuterey outlet[/url] désigné, le professeur Philippe Azouvi, n'avait pu se qu'au regard des pièces médicales du dossier et des témoignages des proches recueillis pendant l'enquête.
La requête de mise sous tutelle a pour but de cette procédure devant le tribunal correctionnel, qui souffre de deux faiblesses. La première est celle de la recevabilité de Fran?oise Meyers-Bettencourt comme partie civile. [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] Pour le parquet de Nanterre, qui après deux ans d' préliminaire, a décidé de sans suite ce dossier, [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister france[/url] comme pour les avocats de Liliane Bettencourt et Fran?ois-Marie [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] Banier, Mes et Hervé Temime, la fille de l'héritière de L'Oréal n'est pas recevable, [url=http://www.jeremyparendt.com/Hollister-b5.php]hollister[/url] faute de "préjudice direct et certain".
"Probable vulnérabilité"
qu'elle sollicitait sa mise sous tutelle. "C'est mon premier de fille, je le pense profondément. J'ai déjà essayé en engageant, il y a bient?t deux ans, la procédure qui te contrarie tant mais cela n'a, hélas, pas suffi. C'est pourquoi je pense [url=http://www.bjls114.com/viewthread.php?tid=27487&extra=]hollister france La mairie dAgen suspend lagresseur de Nicolas Sarkozy[/url] n' d'autre choix, aujourd'hui, que de du juge civil ta protection", écrit-elle [url=http://www.bfgt.gov.cn/guestbook.asp]hollister[/url] en évoquant la "situation d'isolement et d'emprise" dans laquelle se trouve, selon elle, l'héritière du groupe L'Oréal, aujourd'hui ?gée de 87 ans.
Cette expertise va obligatoirement être ordonnée par le juge des tutelles et il sera plus difficile à Liliane Bettencourt de de s'y . La nouvelle initiative prise par Fran?oise Meyers-Bettencourt a suscité une très vive réaction de Me Kiejman qui s'indigne de la "mort civile" à laquelle elle cherche, selon lui, à sa mère et de "l'impatience" qu'elle manifesterait ainsi dans la gestion de la fortune familiale. Me Temime [url=http://www.mnfruit.com/airjordan.php]jordan[/url] a [url=http://www.shewyne.com/moncleroutlet.html]moncler sito ufficiale[/url] regretté, pour sa part, "la violence inou?e" d'une telle procédure entre une fille et sa mère.
"On ne saisit pas la comme on va au supermarché", avait observé la procureure Marie-Christine Daubigney lors d'une première audience, jeudi 3 septembre. La jurisprudence de la Cour de cassation, qui était jusque-là très restrictive, vient toutefois de s' d'une [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] décision, rendue par la chambre criminelle le 3 novembre dans une affaire d'abus de faiblesse, qui donne de solides arguments à Mme Meyers-Bettencourt pour se reconna?tre comme [url=http://www.shewyne.com/hoganoutlet.html]hogan outlet[/url] partie civile. Il est question d'un homme accusé d' dépouillé de sa fortune une très riche veuve atteinte de la maladie d'.
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